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samedi 30 avril 2011

D'autres cartes de 1973-74

Fidèle lecteur, Benoît AKA KeithActon m'a réécrit il y quelques jours concernant la série 1973-74. Il m'a dit qu'il avait lui aussi quelques cartes préférées de cette série :

Bien sûr que les cartes de 73-74 ne sont pas toutes laides (même si je n'en aime pas le design). Que dis-tu de ce superbe Gump Worsley "avec pas d'masque" et avec ses favoris proéminents? Ou de ce Daniel Bouchard période pré-Nordique en pleine action?






Je ne peux qu'en dire du bien. Quelle étrange position que celle de Dan Bouchard et que dire du masque... Pour ce qui est de la carte de Gump, que dire... Ça m'a fait penser à un petit vidéo que j'ai mis il y a quelques années, il s'agit d'une chanson de l'excellent groupe indie canadien The Weakerthans avec des images du dernier match de Gump Worsley, un des seuls matchs que Gump joua avec un masque...


Benoît dans sous courriel m'a confié également partager avec moi un amour pour la série 1971-72 :

Et à l'inverse, une de mes séries préférées est celle de 71-72. J'aime beaucoup le cadre oval et le lettrage ballon sur le devant, qui comprend le logo de l'équipe. L'envers noir sur fond vert est aussi très beau. Les statistiques sont complètes et il y a spécialement pour te faire plaisir un beau petit dessin avec une anecdote.

Toutefois, à cette époque, ce sont presque seulement des photos studio avec une pose plastique. Et on retrouve aussi dans cette série plusieurs emprunts ridicules. Par exemple, il y a Larry Hillman, un défenseur au talent de compteur assez limité, qui emprunte le corps de Dave Dryden, gardien de but comme son frère.

Comme quoi aucune série n'est parfaitement réussie et aucune n'est parfaitement ratée...

Je ne me rappelle pas avoir déjà mis cette légendaire carte de Larry Hillman, alors voici cette splendide carte :





Sachez également qu'il y a une autre erreur sur cette carte, Hillman ayant remporté la Coupe Stanley à 6 reprises (1955 avec Detroit, 1962, 1963, 1964 et 1967 avec Toronto et avec le Canadien en 1969) et non à 4 reprises... Pour ce qui est de 1962 et 1963, bien qu'il ait joué qu'une poignée de matchs, son nom figure bel et bien sur la Coupe Stanley. Sacré Larry...

Une chose important également à savoir que Lary Hillman est le tonton de Brian Savage, Monsieur Octobre...

La carte de Rogatien Vachon a également une tête collée par dessus un autre joueur des Kings, lui qui fut échangé aux Kings avant le début de la saison 1971-72.


Continuez à me soumettre vos cartes préférées, j'aime ça!

jeudi 28 avril 2011

La réponse : les Jets de Chicago




Je remercie Vince et Guillaume qui ont sauté rapidement pour nous donner la réponse : les Jets de Chicago... Il s'agit du nom de l'équipe d'un programme de hockey qui va de mite (3-4 ans) à bantam. J'avoue par contre que leur chandails sont assez cool pas seulement pour le logo à Canadien, mais en général. Le chandail avec le "Chicago" en Ranger est particulièrement joli.

http://www.chicagojetshockey.org



Ed Giacomin 1973-74

Cette semaine, Benoît AKA KeithActon m'a envoyé des cartes de la série 1973-74 assez spectaculaires en me disant qu'il s'agit réellement de la pire série de tous les temps... Je n'irais pas le contredire, mais cette série comporte quelques perles... Le site Puck Junk par exemple parlait il y a quleques années d'une carte assez spectaculaire de cette collection, celle de Garry Unger. Il y a également la célèbre carte de Phil Roberto en train de se battre qui est très connue dans cette collection... Mais ces cartes représentent des drôles de moineaux comme celles que Benoît m'a envoyée.



Dans ma collection de carte, j'aime beaucoup pour ma part cette carte d'Ed Giacomin de cette collection. Oui, la photo est floue, mais j'aime beaucoup la position de Giacomin. J'ai toujours aimé Giacomin parce qu'il était grisonnant et qu'il gardait les buts comme un king. Ça manque de joueurs en gris dans la NHL selon moi...

Remarquez qu'il manque un "l'" dans le texte en français. Comme vous le savez, j'aime beaucoup ces vieilles cartes qui ont des noms ou des autographes derrière et celle-ci possède un superbe ML qui fait un peu métal...

Il s'agit bien sûr d'une carte bien ordinaire, mais je l'ai toujours aimé, ne serait-ce que pour la mention que Giacomin fut "Un des derniers gardiens de la LNH à jouer sans masque" et qu'il porte dorénavant un masque sur la sur la splendide photo...

Et que dire que la mention que Giacomin ambitionne d'être le premier à marquer un but ou encore qu'il sort souvent de "sa boîte" pour attraper la rondelle...

Appel à tous : Kessé ça?

Mon chum G.U.I.N.D.O.N. m'a fait parvenir cette photo en me demandant si je savais qu'est-ce qu'était ce logo... Ne sachant pas, je vous demande maintenant, vous, lecteurs de La Vie Est Une Puck, si vous savez ce qu'est ce chandail derrière Vince Vaughn???

La réponse : 19




Si je n'avais pas fait état du résultat du dernier sondage, c'est que j'attendais d'avoir la réponse. Et bien la réponse est 19. Brent Sopel a joué 19 matchs dans l'uniforme du Canadien! Avec ce peu de matchs joués, Sopel peut quand même se considérer comme un ancien du Canadien. Si Dave Morissette n'a joué que 11 matchs et parle toujours de quand il a joué avec le Canadien, alors Brent Sopel peut aisément se considérer comme un ancien du Canadien...

Donc personne n'a la bonne réponse...

Question : "En incluant les séries éliminatoires, combien de matchs pensez-vous que Brent Sopel jouera dans l'uniforme du Canadien?"

Résultats :

5
11 (12%)
6
3 (3%)
7
5 (5%)
8
5 (5%)
9
5 (5%)
10
7 (7%)
11
4 (4%)
12
11 (12%)
13
5 (5%)
14
1 (1%)
15
3 (3%)
16
4 (4%)
17
2 (2%)
18
0 (0%)
19
0 (0%)
20
1 (1%)
Plus de 20
23 (25%)

Nombre de votes : 90

mardi 26 avril 2011

Wow...

Collectionneurs d'art, vous pouvez vous gâter! Si vous détestez les trucs contemporains et vous aimez le hockey, voici la peinture qu'il vous faut pour votre salon :

(cliquez sur l'image si vous voulez la voir au complet...


La mise commence à 5000$! Voici le lien pour miser :

Bonne chance!

(Pris sur Puck Daddy...)

Des cartes de 1973-74

Ben AKA KeithActon a fortement réagit en voyant mon commentaire disant que la pire série de tous les temps est celle de 1988-89. Il a non seulement écrit ceci dans les commentaires :

En ce qui me concerne, le pire design (et de loin) est celui de la série 73-74. Devant drabe, aucun logo et un cadre "pseudo-déchiré" pas très beau.

Les photos en action sont floues et confuses. (Il y a six têtes de joueurs et un arbitre sur celle de Dave Keon #150).

Quant à l'endos, il est foncé sur fond beige pour certaines, brun pour d'autres. (Pourquoi? Ils ont manqué de carton?) Et surtout, il ne contient que les stats de l'année courante. Pas de total de carrière et encore moins un détail de toutes les années. (Hé! hockeydb.com n'existait pas dans ce temps-là!)

Mais en plus de faire ce gros statement, il m'a envoyé ces deux cartes dont celle de Dave Keon dont il parlait :


J'avoue que cette carte est folle... Que dire de plus, Benoît l'a très bien décrite...


L'autre est complètement folle :


Si ça vous intéresse de le savoir, Boudrias est le numéro 7, donc le gars qui se fait pousser devant le but...

Et comme j'aime beaucoup les petits bonhommes avec des faits divers derrière ces vieilles cartes, celle-ce est particulièrement cool! On y apprend en anglais que Boudrias est souvent vu dans des banquets alors qu'en français on apprend qu'il est conférencier... Ok...

André se fit plus à sa finesse qu'à ses muscles,,, Je pense qu'à cette époque c'était rare...



Merci à Ben et n'hésitez pas à m'envoyer des trésors comme ça!

Ah oui, si vous n'êtes pas un fan de Keon comme moi, sachez qu'il est le numéro 14...

Trêve de hockey #39 : The Franchise

Showtime a entrepris de suivre les Giants dans leur défense du championnat de baseball. Voici le premier épisode diffusé le 15 avril dernier...

C'est quand même bon et ça promet. Sérieusement, ils ont bien choisi les joueurs à suivre et ils ont un titre à défendre. On des donc dans les coulisses d'une équipe qui a tout à prouver et ce ne sont pas ces connards de Yankees...






lundi 25 avril 2011

Paul Holmgren et Lindy Ruff

Afin de souligner la guerre de tranchée qui se déroule présentement entre les Flyers et les Sabres, pourquoi pas souligner ça avec des cartes des artisans des deux formation... On ne se surprendra pas non plus de voir que ces deux personnes ont joué presque tout leur hockey avec les équipes qui les emploient encore de nos jours...

Premièrement, Paul Holmgren, O-Pee-Chee 1978-78 #234 :




Ce que j'adore en particulier de cette carte, c'est la photo en tant que tel. Je ne sais pas comment ça s'est fait, mais on dirait que le casque d'Holmgren est fait en cuir. Pour une carte O-Pee-Chee, il faut dire également, ne serait-ce que par le joueur des Sabres de Buffalo (Jim Schoenfeld, un autre fameux joueur au col roulé), que la photo est plus en action que la moyenne... Le fait également qu'on nous dit qu'Holmgren est le policier de l'équipe derrière donne une superbe plus-value à la carte... J'aime définitivement cette série avec un design un peu funky devant et un superbe derrière...

Ah oui, ce n'est pas écrit sur la carte, mais savez-vous que Paul Holmgren a déjà joué quelque matchs en 1975-76 avec les fameux Jets de Johnstown, la fameuse équipe qui a inspirée les Chiefs de Charlestown...



Lindy Ruff, O-Pee-Chee 1988-89 #40 :



Si j'adore le design de série 1978-79, celle de 1988-89 est selon moi la pire de tous les temps... Je déteste la plupart des photos de cette série et le design fait encore plus ordinaire. Par contre, j'aime beaucoup celle de Lindy Ruff que l'on voit ici parce qu'on se rend bien compte qu'il n'a jamais changé... Il avait l'air vieux déjà dans la vingtaine, blâmons son ornement sous le rictus pour cette illusion...

Le design à l'arrière de cette série est quand même intéressant, surtout sur cette carte. Si on mentionne que Ruff a déjà marqué 4 buts contre les Nordiques en un match, on ne peut pas détester ça... Il ne faut pas oublier de mentionner qu'il est le 16e meilleur scorer des Sabres, surtout si on regarde ses stats ben ordinaire... Je parie qu'il est plus bas dans ce palmarès de nos jours... Il est par contre le coach ayant dirigé le plus de match de l'histoire de l'équipe... Heh...

samedi 23 avril 2011

N'essayez pas ça à la maison...

Les fans ontariens du Canadien ont des drôle de manière de passer leur samedi après-midi en attendant les matchs...

J'espère que Ray peut encore écouter les matchs du Canadien...

(Je vous avertis, c'est redneck pas mal...)



Merci à Hélène pour le suberbe vidéo...

Update --- La suite printanière pour les plus masos...

vendredi 22 avril 2011

Selmar Odelein



Vous vous rappelez certainement de Lyle Odelein, mais connaissez vos son frère aîné Selmar? En voyant la photo plus haut vous vous dites certainement que c'est véritablement le frère de l'ancien Canadien...

Selmar Odelein est né en 1966 à Quill Lake en Saskatchewan, soit deux ans avant son frère.

C'est avec les Pats de Régina qu'il joua son junior. Étant connu comme un défenseur robuste et efficace, les Oilers d'Edmonton en firent son choix de première ronde en 1984. Odelein était quand même un joueur assez attendu dans la NHL, ayant été sélectionné durant deux années pour faire parti de l'équipe junior canadienne... Il était un des défenseur le mieux classé en vue du repêchage de 1984.

L'ascension d'Odelein dans la NHL fut par contre plus compliquée, ne serait-ce qu'en raison qu'elle était à cette époque une des formations les plus puissantes de l'histoire. Après son stage junior, Odelein rejoint directement les Oilers en fin de saison. Ses 4 matchs qu'il joua avec les Oilers en fin de la saison 1985-86 furent relativement concluants. Par contre l'année suivante, une blessure au genou subit en début de saison vint ralentir sa progression, ne jouant que 2 matchs avec le club-école des Oilers.




C'est lors de la saison 1987-88 qu'Odelein connut plus de hockey dans la ligue nationale, prenant part à 12 matchs. Malheureusement pour lui, il ne joua pas assez de match pour voir son nom sur la Coupe Stanley. Alors qu'il ne joua que 2 matchs la saison suivante, passant la majeure partie de son temps avec les Oilers de Cap-Breton, Odelein en vint à la conclusion qu'il ne pouvais pas atteindre la NHL. Il se joint donc à l'équipe nationale canadienne pour la saison 1989-90. Ce changement marqua un gros départ pour Odelein qui demeura en Europe pour évoluer en Autriche pour les saisons suivantes. Affligé par plusieurs blessures, Odelein mit un terme à sa carrière après la saison 1993-94 alors qu'il évoluait dans la méchante ligue d'Angleterre avec les Steelers de Sheffield...

Sachez également qu'un autre frère Odelein a évolué à un niveau assez élevé. Lee Odelein, né entre les deux, a joué dans la East Coast League et dans la Colonial Hockey League au début des années 90.

Et j'attends toujours la nomination de Lyle Odelein au Temple de la Renommée...


mercredi 20 avril 2011

Bonne Fête, Gilles Lupien



Ce n'est pas seulement l'anniversaire d'Adolf Hitler ou la journée internationale des fumeux de pot aujourd'hui, c'est également l'anniversaire d'un des plus redoutables des Canadiens de la fin des années 70, Gilles Lupien.

Au sein de la dynastie des Canadiens des années 70, Gilles Lupien est arrivé sur le tard. Il fut sélectionné en 1974 par le Canadien en deuxième ronde. Sachez d'ailleurs que bien qu'il fut sélectionné au 33e rang, Lupien fut le septième joueur que les Canadiens sélectionnèrent lors de ce repêchage. Des joueurs comme Mario Tremblay, Rick Chartraw et Doug Risebrough. Sam Pollock aimait beaucoup échanger plein de joueurs pour s'approprier le plus de choix possible.

Gilles Lupien évolua durant 3 saisons avec les Voyageurs de la Nouvelle-Écosse où il fut la police de l'équipe à la ligne bleue de cette équipe de l'AHL qui était de calibre de la NHL, remportant la Coupe Calder en 1976 et en 1977. C'est lors de la saison 1977-78 que Lupien se vit offrir une promotion afin de donner un peu plus de muscle à l'équipe. Comme je l'ai dit plus haut, le grand défenseur de 6 pieds 6 remporta deux Coupes Stanley avec le Canadien en 1978 et 1979.

En 1979, lors du repêchage d'expansion, le Canadien ne protégea pas Lupien et le sélectionna à nouveau lors d'un repêchage compensatoire. Lupien joua alors une autre saison depuis, la saison 1979-80, avec le Canadien avant d'être échangé à Pittsburgh en septembre 1980. Lupien ne joua pas très longtemps avec les Penguins, il fut échangé aux Whalers d'Hartford en février 1981. Il termina sa carrière la saison suivante en ne jouant qu'un seul match à Hartford, jouant la mejeure partie de la saison à Binghampton.

Après sa carrière, Lupien se lança dans les affaires, étant notamment propriétaire d'un Dunkin' Donuts pendant un certain temps. Mais c'est en tant qu'agent de joueurs comme Roberto Luongo, Patrick Lalime, Félix Potvin et Martin Biron qu'il se fit connaître et qu'il est toujours connu...

Étrangement, bien qu'il ait fait son nom avec ses poings quand il était joueur, Lupien, depuis qu'il est agent, est devenu un apôtre de la non-violence au hockey... Comme on dit, protège ton investissement...

Un fait intéressant à propos de Lupien est qu'un fan club fut fondé à la fin des années 70. Le pire est que ce fan club fut fondé par des gens de Calgary qui aimaient beaucoup ce redoutable défenseur... Apparemment, ce fan club existe toujours...

Si vous voulez voir à quel point Lupien ne laissait pas indifférent, écoutez les commentaires sur ce vidéo :



Lupien joua également un rôle dans ce moment assez triste :




Anyway, bonne fête mon Gilles!!!

lundi 18 avril 2011

Les cousins du hockey : Le Hurling




Comme la plupart des sports créés dans la modernité, le hockey possède plusieurs origines plus ou moins directes. L'une d'entre elles est un sport d'origine irlandaise qui se nomme le hurling... Il existe dans les îles britanniques beaucoup de sports de la sorte qui furent adaptés par des immigrants d'Europe du Nord avec les conditions hivernales... Mais aujourd'hui parlons du hurling...

Le hurling est souvent considéré comme le sport d'équipe de gazon le plus rapide. Il serait pratiqué en Irlande depuis près de 3000 ans. Le première trace de ce sport que l'on peut recenser dans les écrit date de la christianisation de cette île aux alentours du VIIe ou VIIIe siècle par des moines... On raconte que dans les premiers textes locaux faisant office de Code Civil comme la Lois de Brehon émise aux alentours du VIe siècle aurait contenu les règles du hurling...



Vaguement, en quoi consiste ce sport...

Ce sport se joue avec une crosse en forme de hache qui se nomme le hurley et une balle de cuir un peu plus petite qu'une balle de baseball qui se nomme sliotar. Deux équipes de 15 joueurs s'affrontent sur un terrain plus large qu'un terrain de soccer. Alors qu'un terrain de soccer fait environ 105m par 68m, le terrain de hurling fait pour sa part environ 140m par 80m. de ces 15 joueurs, il y a un gardien de but, de 6 défenseurs, de 2 milieux de terrain et de 6 attaquants.

Un peu comme à la crosse, le joueurs peuvent prendre la balle par terre, mais contrairement à la crosse, on peut se déplacer avec la balle dans la main pour une distance de 4 pas. Les joueurs par la suite peuvent passer en frappant avec la main, les pieds ou le hurley. Comme le terrain est large et qu'il n'y a pas de ligne de hors-jeu, ce sport comporte beaucoup de dégagement... On peut frapper fortement la balle comme au baseball à n'importe quelle hauteur, ce qui peut occasionner des coups sur les autres joueurs avec le hurley... On peut bloquer les dégagement avec la main, mais on doit garder le pied par terre. On peut par contre sauter et attraper avec le hurley si on est plus cowboy...

C'est bien beau ça mais, comment on fait des points...

Il y a deux manière de faire des points. On peut premièrement marquer un but en lançant le sliotar dans le but qui est un peu moins large que les buts de soccer. Alors que les buts de soccer font 7,32 mètres, ceux de hurling font environ 6 mètres. On peut également lancer la balle par-dessus la barre transversale du but qui contient des poteaux d'environ 6 mètres de hauts de chaque côté du but, rappelant ceux du football américain et du rugby. En lançant par-dessus cette barre, on marque un point...

On calcule les points en inscrivant le nombre de but en premier et le nombre de points comme ceci : (2-15). Cela donne un résultat de 21 points...

Les matchs durent deux mi-temps de 30 minutes et le championnat d'Irlande pour sa part dure deux mi-temps de 35 minutes.

Et le plus important dans ce sport, les contacts sont permis...En effet, on peut donner du contact aux joueurs adverses avec les épaules, mais les hanches et les coudes sont interdits. En plus de pouvoir manger des coups de hurley de manière collatérale, les joueurs peuvent utiliser leur bâton afin de bloquer les élans du joueur...

Ça donne donc un sport assez débile qui est l'un des plus vieux sport se jouant avec une crosse venant d'Europe...

Regardez-bien comment ça se joue avec ce petit vidéo :




Bon, où est-ce qu'on peut avoir des hurleys et une sliotar à Montréal?

dimanche 17 avril 2011

Citation de la semaine

Sur Puck Daddy :
The Stanley Cup has partied with more strippers than if Charlie Sheen had been the bassist for Mötley Crüe.

Ça me fait penser à deux mots ensemble : Patrick et Kane!

Je sais pas pourquoi...

Des cartes inserts O-Pee-Chee 1977-78

Voici quelques cartes Insert O-Pee-Chee de la saison 1977-78. Si je ne me trompe pas, ces cartes du format d'une carte à jouer se retrouvaient dans les paquets de cartes O-Pee-Chee de la série 1977-78. La série normale étaient comme cette superbe carte de Dennis Maruk :



Splendide photo du plus grand joueur de l'histoire des Barons de Cleveland. Le design de l'endos de la carte est selon moi une des plus belles de tous les temps. On y apprend d'ailleurs que Dennis fut nommé le joueur le plus populaire des Seals en 1975-76... Tout est dans la moustache!



Comme je le disais plus haut, ces cartes inserts était si je ne me trompe pas, disponibles dans les paquets de cartes O-Pee-Chee. Si je me rappelle bien, c'est un voisin plus vieux que me les a donné parce qu'il les trouvait pas mal inutiles, probablement en raison de la taille ou bedon parce qu'elles n'étaient pas listés dans les Backetts...

Mais selon moi cette séries, du moins celles que je possède est une belle collection de cartes avec des photos sublimes...

Les voicis :


J'adore la qualité d'image de cette série. Ne serait-ce qu'une photo de Larry Robinson qui fout que dalle prend une certaine forme d'intensité. Malheureusement pour nous, le derrière est plus que cheap. J'ai mis un scan de la carte de Robinson simplement pour vous montrer de quoi elles avaient l'air... Vous comprendrez pourquoi je n'ai pas mis les autres...




Tim Young... Je vous entends tous dire "Qui?", mais sachez que ce joueur des Stars en était à sa deuxième saison en 1976-77 et a récolté 95 points. Il représentait donc un joueur assez prometteur pour une équipe qui était assez morne à cette époque. Mais le fait est là, la photo, probablement retouchée à la mitaine, possède une texture tellement cool qui met son splendide chandail des Stars en avant-plan... Tim Young, pour votre information, n'a pas joué très longtemps mais a su récolter 536 points en 628 matchs, la plupart avec les North Stars.


Je gage que Marcel Dionne ne s'est pas battu souvent dans sa vie, mais vous pouvez voir le légendaire drummondvillois sans gants et la face maganée ici... En fait, je ne pense pas qu'il s'agisse d'un après combat de Dionne. Selon hockeyfight.com, Dionne ne se serait battu que 5 fois dans sa carrière et il se serait battu qu'une seule fois à la fin des années 70. Ça aurait été le 25 octobre 1977 contre Curt Ridley des Canucks et non pas contre un joueur des Capitals... N'empêche, il a pas de gants et il a la face maganée... Notez qu'il y a un bâton qui traîne sur la glace...


Gilbert Perreault avec pas de casque et avec pas de dents...


Chico Resch. Celle-ci est assez ordinaire, mais quand même, je me demande où est la mitte de Chico...


Je m'ennuie beaucoup du temps où on pouvait voir le chest d'un joueur de hockey... Denis Potvin semble avoir même enlevé le lacet de son jersey pour le mettre à l'avant plan...


Don Maloney dans son superbe chandail de style Jets de Winnipeg que les Rangers portèrent durant une couple de saisons dans les années 70 avant de céder sous la pression des fans et de revenir avec le légendaire Blue Shirt... Pour sa part, John Ferguson reprit ce design lorsqu'il devint le directeur général des Jets lors de leur entrée dans la NHL... Je ne sais pas pourquoi, mais c'était cute pour les Jets et pas pour les Rangers...


De loin ma préférée... Rogatien Vachon qui est en position Terry Sawchuck, masque y comprit... Le fait que cette carte soit sur le côté rajoute beaucoup au charme de la photo... La plus-value dans la carte est la signature de "Rogie" qui semble avoir été fait par un enfant du primaire... Y s'en fait plus des comme ça...

mercredi 13 avril 2011

Viktor Konovalenko

Viktor Konovalenko en 1966, célébrant la victoire du Championnat du monde se déroulant en Yougoslavie

Voici un petit vidéo de la victoire de l'URSS aux Jeux Olympiques de Grenoble en 1968. Après une victoire de 5-0 sur le Canada en finale, l'équipe se rua sur le gardien Viktor Konovalenko, héros de cette victoire, afin de le lancer dans les airs pour célébrer la victoire...


C'est quelque chose qui s'est perdu...

Avant l'arrivée de Vladislav Tretiak, Viktor Konovalenko (Ви́ктор Конова́ленко) était le grand gardien soviétique. La grosse particularité de ce gardien fut qu'il n'avait pas été formé par le célèbre CSKA, l'équipe de l'Armée Rouge. Lorsqu'il ne faisait pas parti de la grosse machine rouge, Kovovalenko évoluait avec le club de sa ville natale, le Torpedo Gorky (ville qui se nomme Nizhny Novgorod de nos jours). C'est dans cette ville qu'il naquit en 1938. À l'âge de 14 ans, afin d'aider sa famille, il se trouva un emploi au sein de l'usine d'automobile de Gorki. C'est à cette époque qu'il débuta le hockey en tant qu'attaquant tout en évoluant également comme avant au soccer.

C'est en 1956 qu'il débuta avec le club sénior du Torpedo Gorky. Avec ce club, il se fit très tôt remarquer comme étant le meilleur gardien du championnat soviétique, ce qui lui valut une invitation pour l'équipe nationale dès 1961. En tant que gardien du Torpedo, il atteignit la finale du championnat en 1961 où ils s'inclinèrent contre le trop puissant CSKA... En 1970, toujours avec le Torpedo, il fut nommé meilleur joueur du championnat national soviétique... Dans une ligue un peu trop "ammanchée" pour que le CSKA soit plus fort que l'autre, tirer son épingle du jeu était une rareté.

Konovalenko avec le Torpedo. Il existe très peu de vidéos ou de photos de Konovalenko, notamment avec le Torpedo Gorki. Celle-ci étant une très rare.

Mais comme je l'ai dis plus haut, Viktor Konovalenko fut avant-tout connu pour être le redoutable gardien de la puissante équipe nationale soviétique. Il fut le cerbère de la machine rouge lors des championnats du monde de l'équipe de 1963 à 1968 ainsi qu'en 1970 et en 1971. Il ne fut pas seulement le gardien de l'URSS lors des jeux de 1964 à Innsbruck. En 1970, la même année où il fut consacré le joueur le plus important du championnat soviétique, il fut placé sur l'équipe d'étoile du championnat mondial.

Malgré ses succès, Konovalenko était considéré comme le côté faible de l'équipe de l'URSS. Le fait qu'il ne fut pas formé au sein du CSKA fit en sorte qu'il était une sorte de paria du redoutable système militaire soviétique développé par le père du hockey soviétique, Anatoli Tarasov. En fait, à cette époque, la faille du système soviétique avait toujours été le gardien. En fait, même en Amérique du Nord également, outre Terry Sawchuk et Jacques Plante, le gardien était une position pas très élaborée. Représentant néanmoins le meilleur gardien du championnat soviétique, Tarasov ne pouvait faire autrement que de garder Konovalenko dans système tant qu'il ne trouvera pas son gardien idéal qu'il pourra former dès son jeune âge et à sa manière dans le système du CSKA... En 1969 par contre, il fut exclus de l'équipe de l'URSS car il se plaint de sa position de rare joueur non-membre du CSKA au sein de l'équipe. Il fut réintroduit par contre l'année suivante, son remplaçant, Viktor Zinger du Spartak Moscou, n'ayant pas démontré un talent supérieur.

Ce jeune gardien que le tsar du hockey soviétique Anatoli Tarasov attendait fut bien sûr Vladislav Tretiak. C'est en 1972 devant la montée de ce gardien prodige formé à la dure dans le système du CSKA que Konovalenko ne put faire autrement que de lui remettre le chandail numéro 20 en 1972. Avec Tretiak, c'est même la mémoire de Kovovalenko s'ombra.

Après s'être retiré du jeu en 1972, Konovalenko retourna à Gorki afin d'être l'entraîneur du Torpedo. On raconte qu'il régnait tellement en maître dans le hockey local qu'il se permettait de fumer derrière le banc. C'est également en travaillant au Palais des sports Avtozavodskaya de sa ville natale qu'il mourut, ayant une attaque lors d'une réunion de planification en 1996...

Le Palais des Sports local fut renommé à son nom peu de temps après son décès. Un buste àa son effigie est placée à l'entrée de l'aréna et son numéro 20 est retiré par le Torpedo Nizhny Novgorod, équipe évoluant dorénavant dans la KHL...

Il fut intronisé au Temple de la Renommée de l'IIHF en 2007...

Son surnom était "L'ours russe" (русский медведь)



mardi 12 avril 2011

Le début des séries 1994

Espéront que les Bruins ne l'emporteront pas comme en 1994 cette année...



Merci à Sébastien...

Le pool 2010-11 : Les résultats!

Bon, la saison est finie et le pool de La Vie Est Une Puck est également terminé!


#
PARTICIPANTSPJBPVBLPTS
1083Richard Dion1508845918210602033
1130Alex Arcand1513875918198402031
1178Jason Melancon1538915885189402029
1334Alain Delisle1522900903189302022
1463Chanthasone Thirakul1528875933174352017
2279Flory Daahboy1519884842198651989
2279Jonathan Gauthier1523864883192501989
3086Samuel Laverdière1511827913192351967
3617Alexandre Chhiek1519814907198351954
4461Martin Laberge1463846884168351933

Félicitations aux 10 premiers! Le gagnant, Richard Dion, étant un de mes meilleurs amis, je peux vous dire qu'il a travaillé très très fort pour terminer premier. Il m'a téléphoné souvent pour avoir des conseils et m'a longtemps parlé de sa pôle position dans le pool. Vous voyez donc que vous n'étiez pas de compétition tant il était dévoué... Mais comme les deuxièmes et troisièmes ayant terminés très près de Ricgard, je vois qu'ils ont également travaillé fort. Les neuf premiers par contre ont battu Martin Laberge, mon beau-frère, un très vilain compétiteur... Simplement pour ça, je vous félicite!

Encore une fois bravo à Richard et à tous les autres!