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samedi 30 mars 2013

Histoire de cartes - Les sourires









Avant que les photos en action ne deviennent la norme, on utilisait beaucoup les photos prises en studio.

Certains faisaient un réel effort pour afficher leur plus beau sourire, comme sur une photo de famille.  D'autres ont carrément l'air de s'amuser ferme.



 



















jeudi 28 mars 2013

Promo – Les médaillons des Jeux Olympiques de 1998 de McDonald’s









Pour les Jeux de Nagano, la chaîne de restauration rapide McDonald’s eut l’idée de faire des médaillons (avec l’apparence d’une pièce de monnaie) des joueurs de l’équipe olympique canadienne, qu’on pouvait se procurer avec certains achats à ses restaurants.
Il y en avait douze au total, avec un joueur de chaque côté.  On pouvait aussi se procurer un carton avec un dessin de patinoire et douze trous pour insérer les pièces.
Cette promo n’a pas été des plus mémorables pour la simple raison que l’équipe canadienne a déçu à Nagano.  Les attentes étaient très élevées pour le premier tournoi qui regroupait enfin les meilleurs joueurs de la Ligue Nationale.  Après d’encourageantes médailles d’argent à Albertville (1992) et Lillehammer (1994), on comptait bien mettre fin à la disette d’or, qui durait depuis 1952.  Ce fut toutefois la République Tchèque, avec Dominik Hasek en tête, qui rafla l’or.  Le Canada dut se contenter d’une triste quatrième place… 
Il fallut attendre quatre ans de plus, à Salt Lake City, pour finalement mettre la main sur l’or.

mardi 26 mars 2013

Ted McCaskill








Originaire du nord de l’Ontario, Ted McCaskill prit en 1962 le chemin de Nashville, pour s’aligner avec les Dixie Flyers de la Eastern Hockey League (voir texte du 16 juillet 2011). Il comptait bien pouvoir gagner sa vie avec son talent offensif de hockeyeur, comme il l’avait fait en Grande-Bretagne les deux années précédentes. Il réalisa toutefois assez rapidement que ça ne suffirait pas.

Au cours des cinq saisons qu’il passa à Nashville, il réalisa trois saisons de plus de 100 points, dont une de 60 buts. Il mit toutefois aussi à l’épreuve sa force de caractère. La Ligue était très dure et seulement les plus forts y survivaient. Et lorsque quelque chose arrivait, il ne fallait pas trop s’apitoyer sur son sort. Les équipes n’alignaient que quatorze joueurs (un gardien, quatre défenseurs et neuf avants) et ne pouvaient se permettre de terminer des matchs avec des joueurs à l’infirmerie.

Pour survivre, McCaskill apprit rapidement que son bâton ne servait pas seulement à manier la rondelle. Il devint rapidement une arme dans ses mains, devenant ainsi une facette importante de son jeu. Il en fit une spécialité, en plus de se battre abondamment, pour devenir l’un des joueurs des plus craints de la Ligue.

Lors de l’expansion de 1967, il fut signé par les North Stars du Minnesota, mais il ne passa que quatre matchs avec eux, ce à quoi se limite sa carrière dans la LNH. Il reprit ensuite le chemin des mineures, principalement dans l’ouest, avec Vancouver et Phoenix, de la WHL.

En 1972, c’est l’arrivée de l’AMH qui lui donna une seconde chance. Malgré qu’il était maintenant âgé de 36 ans, il signa avec les Sharks de Los Angeles. Il y fut pendant les deux ans que dura l’aventure des Sharks. Il fut même nommé entraîneur pour terminer la saison 1973-74, avec des résultats qui laissèrent à désirer. (20-39-0)

La saison suivante, il se retrouva avec les Dusters de Binghampton de la NAHL. Continuant d’utiliser son bâton de toutes sortes de manières pas toujours très gentilles, il inspira Nancy Dowd, qui scénarisa le film « Slap Shot » en observant la NAHL. C’est alors que prit forme le personnage du « Chirurgien » Tim McCracken, basé sur lui. Ce n’est toutefois pas McCaskill qui le joue dans le film, même s’il eut tout de même la chance d’y avoir un petit rôle. Il est le joueur des Blades de Broome County qui se fait prendre en sandwich par Jeff et Steve Hanson…

Il retenta par la suite sa chance derrière un banc, mais avec peu de succès.

Il est le père de Kirk McCaskill, qui joua avec les Jets de Sherbrooke, avant de réorienter sa carrière vers le baseball majeur, avec les Angels et les White Sox. (voir texte du 4 août 2011)

Sources: Jackson, Jonathon, The Making of Slapshot: Behind the Scenes of the Greatest Hockey Movie, John Wiley & Sons Canada Ltd, 2010,

Surgent, Scott Adam, The Complete Historical and Statistical Reference to the World Hockey Association 1972-79, Xaler Press, 1995,

hockeydb.com, wikipedia.org.

lundi 25 mars 2013

Le monde selon Jere Karalahti


C'est aujourd'hui l'anniversaire d'un joueur dont vous n'avez peut-être jamais entendu parlé mais qui va probablement être à partir de ce jour un de vos préféré, Jere Karalahti, un solide défenseur finlandais… Depuis que Monsieur Seb, un fidèle lecteur, m'a parlé de ce joueur, il est dans mon top 5 des joueurs avec des histoires troubles…


Jere Karalahti est né le 25 mars 1975 à Helsinki en Finlande. Il commença sa carrière de haut niveau  en 1993-94 avec le HIFK (Idrottsföreningen Kamraterna i Helsingfors) de la SM-Liiga finlandaise. La même année il fut repêché par les Kings de Los Angeles en 6e ronde, 140e au total.

(Bordel qu'il était laid, ce chandail des Kings… De toute façon, pour un joueur finlandais, un chandail avec pleins de patentes, ça ne devait pas trop lui déranger…)


Bien qu'il fut reconnu comme étant un bon défenseur, la vie personnelle de Karalathi lui a attiré beaucoup de problèmes dès ses premières années. En 1996, alors qu'il évoluait toujours avec le HIFK, Karalahi fut arrêté pour possession de marijuana, d'héroïne et d'amphétamines. Il fut par la suite suspendu par la SM-Liiga. La carrière de Karalahti fut longtemps marqué d'évènements un peu rock'n'roll. Déjà, en 1994 lors du tournois du Championnat mondial junior se déroulant à Red Deer, Karalahti, qui évoluait pour l'équipe nationale finlandaise disparut de la carte. Quelques jours plus tard, Karalahti réapparut, il s'était retrouvé dans sur une réserve autochtone où il a baigné dans l'alcool… C'est à partir de cet évènement qu'il se fit surnommé "Chief" par ses coéquipiers.

Pour cet offense de 1996, Karalahti fut condamné à 3 mois de prison avec sursis…

(Jere Karalahti, champion de la SM-Liiga, en 1998)

C'est à ce jour le seul cas connu de joueur ayant joué dans la NHL ayant consommé de l'héroïne. Parce qu'étant un toujours un bon défenseur, Karalahti se joint en 1999 à l'équipe qui l'avait repêché 6 ans plus tôt, les Kings… Toutefois, son passé tumultueux fit en sorte qu'il eut de la misère à obtenir son permis de travail aux USA, ce qui fait en sorte qu'il début la saison 1999-2000 avec le HIFK au lieu de se joindre au Kings (il le fera quelques semaines après le début de la saison). Il passa 3 saisons avec les Kings, faisant la pluie et le beau temps avec une équipe qui se cherchait avant, en 2002, d'être échangé en fin de saison aux Predators de Nashville à sa demande suite au déclin de son temps d'utilisation. En cette même année 2002, Karalahti connu d'autres problèmes. En 2002, bien qu'ayant déclaré être sobre depuis 5 ans dans une entrevue au Sports Illustrated, il fut suspendu pour 6 mois par la NHL pour avoir échoué un test anti-dopage. Apparemment que cette suspension aurait été en raison de problème d'alcool et non de drogue. Néanmoins, cette suspension sonna le glas de la carrière nord-américaine de Karalahti, lui qui retourna avec le club HIFK pour la saison 2002-03, refusant le programme de réhabilitation de la NHL. (Tiens, ça me rappelle une chanson…)


Revenu avec son club d'origine et fort d'une expérience dans la NHL, il prit un rôle primordial avec l'équipe en tant que premier défenseur de l'équipe. En 2005-06, Karalahti fut nommé capitaine, il deviendra par contre un capitaine peu exemplaire. À la fin de cette même saison, il refusa de jouer le match de la médaille de bronze de la SM-Liiga en raison apparemment de manque d'intérêt.  Des gestes de la sorte ainsi que de nombreuses blessures firent en sorte qu'il perdit assez rapidement le C sur son chandail… À la fin de la saison 2007, Karalahti quitta le HIFK, l'équipe avec qui il évoluait depuis 1993 n'ayant pas renouvelé son contrat.

(Karalehti dans l'uniforme pas trop badass du Oulun Kärpät)

Afin de relancer sa carrière et de potentiellement courtiser la NHL, Karalahti signa un contrat avec ceux qui était alors les champions de la SM-Liiga, le Oulun Kärpät, contrat qui comportait des mesures assez restrictive. Karalahti devait par exemple se plier à plusieurs tests de détection de substances auprès de médecins et un test négatif aurait annulé le contrat. Toutefois, c'est un autre évènement qui limita à 15 matchs le passage de Karalahti avec cette équipe. En novembre 2007, alors qu'il participait à un entraînement avec son équipe, la police vint le visiter pour un entretien. On le suspectait alors de trafic de drogue. Le 7 décembre 2007, Karaahti fut accusé de trafic de drogue. Quelques jours plus tard, il fut banni de la SM-Liiga et du même coup libéré de son contrat avec le Oulun Kärpät.

Le 28 janvier 2008, Jere Karalathi fut accusé d'avoir transporté 20 kilos d'amphétamines et quelques centaines de gramme de cocaïne entre l'Estonie et la Finlande au printemps 2007. Faisant face à une peine d'emprisonnement maximum de 6 ans, Karalahti fut reconnu coupable des faits et reçu une sentence de 20 mois de probation… Il était dorénavant clair que ses chances de retourner dans la NHL étaient parties en fumée…

(Une photo compromettante de Karalahti avec des motards d'un club finlandais nommé Cannonball MC et, si vous remarquez bien, de la cocaïne… Cette photo a beaucoup joué contre lui lors de son procès pour trafic de drogue et a défrayé les manchettes en Finlande à l'époque…)

Suite à cette saison écourtée par ses problèmes avec la justice, Karalahti passa deux saisons avec les Freezers d'Hambourg dans la ligue allemande. Il fit un retour dans la SM-Liiga en 2010 avec le Blues d'Espoo où évoluait également Joonas Nattinen. Ce retour au pays fut quand même remarqué en ce qu'il fut très utile à cette assez faible équipe pour atteindre les séries éliminatoires. C'est probablement ces performances avec les Blues qui aidèrent Karalahti à prendre le chemin de la KHL pour jouer avec le Dinamo de Minsk la saison suivante…

(Même s'il utilise le pouce pour faire un "devil finger"... Anyway, je pense qu'il pourrais nous casser la gueule avec les doigts dans le nez…)



Jere Karalahti évolue toujours avec le Dinamo de Minsk…



Remarquez à quel point il est un défenseur qui cogne…




(Est-ce un drapeau du Québec???)

dimanche 24 mars 2013

Des produits dérivés du Dinamo Minsk

Voici une image en tête du site du Dinamo Minsk :


Je n'en sais pas plus, le site est en russe, mais il me semble que des pistaches, des pinottes et de la bière est une superbe idée de produits dérivés!

Reste à savoir si c'est une bonne bière...

Manque juste le lance-flamme Dinamo Minsk et yaourt serait fier d'eux...


samedi 23 mars 2013

Histoire de cartes - Les joueurs volants









Pour la série 1970-71, les photos ont été prises en studio, ce qui était commun à ce moment.

On décida toutefois de créer un effet en ajoutant un fond de couleur et ce qui semble être une illusion de projecteurs.

Pour les poses de près, ce n'est pas si mal (pour l'époque, évidemment).  Mais on retrouve dans la série quelques prises de plus loin.  Une fois le fond ajouté, on se retrouve avec l'impression... que les joueurs volent!





jeudi 21 mars 2013

lundi 18 mars 2013

René et Marc Boileau









Au début des années 1920, René Boileau jouait au niveau amateur dans la région de Montréal.  L’arrivée d’une première équipe de la LNH à New York, les Americans, créa alors des opportunités pour les joueurs.
Les Americans signèrent donc Boileau pour une somme apparemment minime.  Toutefois, dans le but de s’en servir comme coup de publicité et d’attirer l’attention du cirque médiatique new yorkais, l’équipe annonça la signature de « Rainy Drinkwater », originaire de Caughnawaga (aujourd’hui Kahnawake, près de Châteauguay) et premier autochtone de l’histoire de la LNH.  Considérant l'histoire de la naissance des Americans (voir texte du 26 octobre 2012), ce genre d'attrape n'est pas vraiment étonnant.
 
L’histoire fit couler beaucoup d’encre à l’époque, mais Boileau n’en fit peu de cas, son but était surtout d’avoir sa chance dans la Ligue Nationale.  C’est finalement la Gazette de Montréal qui dévoila la supercherie.

Le passage de Boileau au plus haut niveau fut toutefois de courte durée.  En sept matchs, il n’amassa aucun point.  Il joua ensuite à Niagara Falls et New Haven dans la Ligue Can-Am, puis trois ans avec les Flyers de St.Louis de la American Hockey Association, avant de revenir au Québec et de jouer quelques années au calibre semi-professionnel.  Il est décédé en 1969.

Son fils Marc suivit plus tard ses traces.  De 1953 à 1972, il roula sa bosse dans le hockey professionnel.  Ses arrêts les plus longs furent avec les Blades de Los Angeles et les Totems de Seattle (voir texte du 16 février et du 24 mai 2012) de la WHL, ainsi qu’avec les Komets de Fort Wayne de la IHL.  Ce n’est qu’en 1961-62 qu’il parvint à la Ligue Nationale, jouant 54 parties avec les Red Wings et amassant 11 points.  Il retourna ensuite dans la WHL.  À la fin de sa carrière de joueur, il passa derrière le banc des Komets (à ce moment affiliés aux Penguins de Pittsburgh), qu’il mena d’ailleurs à la Coupe Turner en 1972-73. 

En février 1974, il prit la barre des Penguins, en remplacement de Ken Schinkel.  En 1974-75, l’équipe connut un certain succès.  Pour la première fois de son histoire, elle présenta une fiche supérieure à .500 (37-28-15) et accéda aux séries.  Elle eut toutefois la piètre distinction de perdre une série 4 de 7 après avoir mené 3-0.  Ce sont finalement les jeunes Islanders qui accédèrent au troisième tour.  Ces derniers réalisèrent ainsi un exploit que seulement les Leafs de 1942 avaient déjà réussi.  (Les Flyers réussirent le même tour en 2010, contre Boston.)  Les Penguins, de leur côté, durent attendre jusqu’en 1991 avant de finalement atteindre une demi-finale.  La saison suivante se passa moins bien et Boileau fut congédié en janvier, pour être remplacé par ce même Ken Schinkel.

Au début de la saison 1976-77, il prit la route de Québec pour diriger les Nordiques de l’AMH.  À sa première saison à leur barre, en plus d’afficher la deuxième meilleure fiche de la Ligue (47-31-3), il les guida vers leur seul titre de la Coupe Avco.  La saison suivante, l’équipe connut une importante léthargie et il fut à nouveau congédié.  Maurice Filion termina l’année, avant que Jacques Demers prenne place derrière le banc pour la dernière année du circuit maudit.

Dans une réunion de ligue, Boileau en était venu aux coups avec l’entraîneur des très scientifiques et européens Jets de Winnipeg, Bobby Kromm.  Le but de la réunion était de tenter de trouver des moyens… de diminuer la violence.
Boileau dirigea par après à Flint, dans la IHL, de 1978 à 1981.  Il reprit ensuite le chemin de Seattle, dans la WHL, de 1983 à 1986.  C’est d’ailleurs là qu’il eut sous ses ordres pour une courte période John Kordic.  Son arrêt suivant fut de l’autre côté de l’Atlantique, aux Pays-Bas.  Il termina finalement sa carrière à Amiens, en France, où il mena les Écureuils de Picardie pour une première fois en finale, en 1989.

Il est décédé en 2000, à l’âge de 68 ans.

Sources : Willes, Ed, “The Rebel League, The Short and Unruly Life of the World Hockey Association”, McClelland & Stewart, 2004,

hockeydb.com, legendsofhockey.net, wikipedia.org.

dimanche 17 mars 2013

Des cartes de l'OHL

Voici quelques cartes de la série 1990-91 de l'OHL de 7th Inning Sketch, des sources intarissables de choses étranges et cocasses...

En voici quelques-unes

#347 - Troy Sweet - Oshawa Generals - Selon vous, est-ce qu'il a récupéré la rondelle?


Moi je dis que 99% des joueurs de l'OHL de l'époque portait le casque de la sorte... Et 71 points en 78 matchs, ça devait être dans le midget parce que si on se fit à HockeyDb, il n'a pas eu une carrière aussi productive...


#117 - James Shea - Detroit Compuware Ambassadors - Ce que j'aime de cette carte c'Est qu'on a pas trop été capable de trouver une bonne photo de ce gardien...




#315 - Rick Pollard - North Bay Centinnials - Quelle superbe photo! J'imagine par contre que le photographe devait être déçu en développant ses photos (on est en 1990) et voyant le gant du joueur qui bloque le visage du gardien...

Malheureusement pour Rick, la compagnie de carte de hockey a décidé de mettre des informations sur un trophée en prenant soins de faire une faute de frappe à Ron Tugnutt...





#303 - Ron Bertrand - North Bay Centinnials - Quand l'autre gardien de votre équipe est un gardien à pads brunes avec une moyenne de 4,76, on a pas trop le choix d'être spectaculaire comme Rick Pollard...

Vous serez content par contre d'apprendre que Ron a eu une très longue carrière dans les ligues très mineures...




#289 - Kevin McDougall - Owen Sound Platers - À sa défense, McDougall n'a joué que 10 matchs dans sa carrière, ce qui explique cette photo remarquable et son chandail des Spitfires de Windsor à l'arrière...  

Encore une fois, on peut se questionner à propos de la provenance des stats à l'endos si on compare avec celles de HockeyDB... Reste que le monsieur a une belle coupe de cheveux...




#361 - Jow Hawley - Peterborough Petes - Got the munchies in my mind! YEAAAAHHHH!!!



Oh, monsieur fut un choix de 11e ronde des Blues... Et bien sachez qu'il a évolué un bon bout dans les différents circuits du midwest suite à son passage avec les Petes... 

BTW, suis-je le seul à trouver cool ses gants??? Ça fait coach de MAHG des années 80...


#210 - Michael Hartwick - Hamilton Dukes - Vous ne connaissez pas les Dukes d'Hamilton? Vous n'êtes probablement pas les seuls. Pratiquement toutes les cartes de la séries sont en situation de jeu devant des bancs vides comme celle-ci. L'équipe fut fondée en 1989 alors que les vénérables Marlboros de Toronto, équipe fondée en 1904. Les Dukes évoluèrent durant deux maigres années à Hamilton avant de devenir le Storm de Guelph.

Comment peut-on être motivé à jouer au hockey avec un chandail aussi laid? Tout ce que l'on déteste des design de chandails des années 80 est là...



#7 Brent Gretzky - Belleville Bulls - Ah ben oui, le seul et nique Brent Gretzky, co-détenteur du record, grâce à ses 4 points dans la NHL, de la production combinée de points entre deux frères... Sérieusement, si vous n'avez jamais regardé les stats de la carrière de Brent Gretzky, ça vaut la peine... Il aurait même joué un match avec les Rafales de Québec...


Ça me rappelle une carte : 


Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je n'aurait certainement pas porté le numéro 9 si j'avais été le frère de Wayne Gretzky... C'est peut-être juste moi, mais j'aurais marqué la différence en prenant un autre numéro, le 17 par exemple...



Et finalement, pour vous, mesdames...

#313 - Chros Ottmann - North Bay Centinnials - Beau bonhomme...