Il fut une période où les Canadiens ratissaient le Québec en entier et ce, sans se limiter nécessairement à
Étant toutefois loin d’être considéré comme un espoir de premier plan, on ne l’envoya pas avec les Canadiens de Sherbrooke, de
Pour les saisons 1986-87 et 1987-88, il les passa principalement à Sherbrooke, mais il eut dans les deux cas l’occasion d’être rappelé et de jouer au total 26 matchs avec le grand club. Pour 1987-88, en seulement 59 matchs, il accumula 96 points, le cinquième plus haut total de
En 1988-89, il demeura à Montréal, mais son utilisation fut limitée à 32 matchs, amassant au passage 12 points. Il fut toutefois libéré à la fin de la saison et se retrouva avec les Islanders.
Son passage à Long Island fut par contre de courte durée. Comme centre, il y avait déjà Bryan Trottier, Pat Lafontaine et Brent Sutter et donc, peu de place pour lui. En décembre, il passa alors aux Leafs, dans un échange à cinq joueurs.
Il eut ensuite la chance de former une variante de
Il revint en 1990-91 pour jouer quelques matchs de plus avec les Leafs,
avant de jouer en Suisse pendant neuf ans.
Sa fiche dans la LNH
est de 25-37-62 en 119 matchs.
Il tenta un bref retour de ce côté-ci de l’Atlantique avec les Chiefs de Laval dela Ligue Senior en 2000-01. Toutefois, son style de jeu ne convenait
vraiment pas avec celui de la ligue, plutôt robuste, et son passage s’est
limité à 23 matchs.
Il est depuis devenu technicien chez Bell Canada.
Étrangement, son fils Nicolas suivit un parcours semblable à celui de son père. Trop petit, il ne parvint pas à jouer dansla LHJMQ. Il eut par la contre la
chance que son père lui trouve une place à Rapperswil, un club suisse où il a
passé trois ans. Nicolas vient d’ailleurs
d’y terminer sa troisième saison.
Sources : « La belle aventure de Gilles Thibaudeau » de Ronald King, 17 septembre 2010,La Presse (cyberpresse.ca),
legendsofhockey.net, hockeydb.com.
Il tenta un bref retour de ce côté-ci de l’Atlantique avec les Chiefs de Laval de
Il est depuis devenu technicien chez Bell Canada.
Étrangement, son fils Nicolas suivit un parcours semblable à celui de son père. Trop petit, il ne parvint pas à jouer dans
Sources : « La belle aventure de Gilles Thibaudeau » de Ronald King, 17 septembre 2010,
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