Si l'an passé j'ai eu la chance de découvrir l'Aréna Pat Burns de Stanstead, cette année j'ai visité pour la première fois les arénas de Drummondville.
Centre Marcel-Dionne
Ouvert en 1963, le "Centre Civique" de Drummondville fut rebaptisé "Centre Marcel-Dionne" le 4 juillet 1980, en l'honneur de l'enfant chéri de Drummondville, né en 1951.
Il y a deux billetteries au Centre Marcel-Dionne. C'est la première fois que je voyais ce phénomène. Deux entrées, donc deux fois plus de choses à regarder. La première billetterie, celle qui donne sur le stationnement, nous montre bien que nous sommes dans le domicile des Voltigeurs. Murs peints aux couleur de l'équipe, posters muraux de l'équipe ainsi qu'une photo de la mascotte de l'équipe, Tirobut !
La deuxième billetterie, celle qui donne sur la rue Cockburn, contient beaucoup plus de choses à regarder. Tout d'abord, il y a un tableau relatant la glorieuse carrière de Dionne. Il y a aussi les différentes plaques indiquant l'année d'inauguration du "Centre Civique" et du "Centre Marcel-Dionne". Ce que j'apprécie beaucoup, c'est la vitrine avec quelques chandails des Voltigeurs. Bien sur, ils ne sont pas tous représentés, les Drummondvillois ayant portés 8 uniformes (local et visiteur + celui des 30 ans) dans leur histoire de 36 saisons. Je rêverais de voir la même chose au domicile des Tigres. Je devrais peut-être leur faire la suggestion, j'ai des chandails que je pourrais leur prêter …
Une fois qu'on entre dans l'enceinte, une belle présentation de l'alignement des Voltigeurs nous attend sur le mur donnant au restaurant-cantine. Je n'ai pas de photo dudit resto, mais il était très spacieux. Si certaines organisation ont leur propre "Hall" ou "Wall of Fame", à Drummondville, on a opté pour un "Ceiling of Fame" ! J'adore l'idée d'utiliser les panneaux acoustique du plafond !! Mais ça donne mal au cou à la longue …
L'aréna en tant que tel n'est pas vraiment exceptionnel. Il n'y a présentement que 4 rangées de sièges qui fond le tour de la patinoire alors que l'on retrouve des estrades seulement de chaque côté de celle-ci. Les couleurs des bancs (bleu, jaune, rouge), n'ont pas de lien avec celles de l'équipe junior. Seulement que trois loges corporatives sont présente. Malgré tout, on se sent bel et bien dans la maison des Voltigeurs, car ils sont bien représenté tout le tour de la patinoire. En plus des bannières au plafond des numéros retirés, lors des matchs, on déroule une grande bannière avec le logo des Voltigeurs.
Si les joueurs vous semble petit, c'est qu'ils sont d'âge atome (9-11 ans) |
La loge Bluberi, derrière un des buts |
Les deux autres loges, avec une mini coupe Stanley ! |
Il y a plusieurs cadres autour de la patinoire rendant hommage aux anciens Voltigeurs qui ont évolué, ne serait-ce que pour un match, dans la LNH. Une belle façon de démontrer une culture de gagnant et de faire connaître les anciens aux nouveaux partisans des Voltigeurs. C'est aussi quelque chose que j'aimerais voir à Victoriaville ...
Bien que j'ai aimé ma visite, le domicile des Voltigeurs est dû pour une cure de rajeunissement. Un projet d'agrandissement est d'ailleurs déjà dans les plans
Olympia Yvan-Cournoyer
Construit en 1969 avec une patinoire aux dimensions standard, l'Olympia s'est agrandit en 2007, offrant désormais une deuxième patinoire, cette fois de dimension olympique.
L'Olympia avant l'agrandissement de 2007 |
L'Olympia suite à l'agrandissement (l'ancienne partie est celle de gauche) |
Le nouveau vestibule de l'Olympia est très vaste, mais n'offre rien de particulier pour un geek comme moi. Aucun cadre à l'effigie de Cournoyer, de chandail, de bâton ou quoi que ce soit… Au-dessus de ce qui semble plus être un comptoir d'informations qu'une billetterie se trouve un tableau indiquant l'horaire de la journée ainsi que les vestiaires pour chacune des équipes et sur quelle patinoire ils s'affronteront. À partir de ce vestibule, on a accès soit à la patinoire Yvan-Cournoyer ("l'ancienne partie") ou à la patinoire olympique ("nouvelle partie").
Une fois entré dans "l'ancienne partie" on se retrouve comme dans la majorité des arénas consacrés au hockey mineur ; 7 rangées d'estrades d'un côté, au-dessus de la majorité des vestiaires, des murs de béton beige et terne et des publicités en coroplaste sur le mur des bancs des joueurs. Le Pro-Shop de l'Olympia par contre est une coche au-dessus de la majorité de ceux que j'ai eu l'occasion de voir. On dirait un mini Hockey Experts !
Un couloir nous conduit du côté de la "nouvelle partie". Moins sombre, on réalise rapidement que cette section est récente, mais encore là, il n'y a rien d'exceptionnel, car elle est construite sur le même principe que "l'ancienne partie", exception faite qu'il n'y a ici que 4 rangées de banc.
Le "Pub de l'Olympia", qui est comme n'importe quel resto d'aréna, donne vue sur la patinoire de "l'ancienne partie" mais possède une salle adjacente qui surplombe la patinoire olympique
Bref, je m'attendais à plus qu'un simple aréna en mémoire du Roadrunner ...
* À noter que j'avais oublié mon appareil-photo cellulaire lors de ma visite à l'Olympia. Les photos ont été téléchargés à partir de Google
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Bref, je m'attendais à plus qu'un simple aréna en mémoire du Roadrunner ...
* À noter que j'avais oublié mon
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Vincent Riendeau, goaleur, numéro 24 !!!??? Je me sens comme si y'avais un avant ou un défenseur avec le numéro 1. Voyons LHJMQ kossé ça? C'est presque aussi pire que Manon Rhéaume qui goale avec le 17.
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