mercredi 29 mai 2024

Les grands voyageurs #13 - Paul Vincent




 

Ce texte a d'abord été publié comme texte inédit dans notre livre «Le meilleur de La vie est une puck» en 2022. Ce livre est désormais épuisé mais demeure toujours disponible en format digital (eBook).



S’il y a une série que j’adore particulièrement écrire sur le blogue, c’est bien celle des « grands voyageurs ». J’adore parler de ces « journeymen », comme le légendaire ­Mike Sillinger, titulaire du record de la ­LNH pour avoir joué avec 12 équipes. Ces joueurs sont toujours les sujets d’intéressantes histoires folkloriques, que ce soit par leur mode de vie nomade, les nombreuses équipes et ligues où ils ont joué ou bien ces histoires de marathons de matchs successifs. ­Mais parfois, on tombe sur des histoires plus troublantes qui viennent nous chercher. Le genre d’histoire à faire pleurer, comme moi durant mes recherches initiales pour ce texte.

Paul ­Vincent est né le 5 janvier 1975 à ­Utica dans l’état de ­New ­York. Costaud joueur de centre de 6’5’’ et 200 lb avec un certain flair offensif, il fut choisi par les ­Maple ­Leafs de ­Toronto en sixième ronde du repêchage de 1993 après une saison passée à l’école préparatoire ­Cushing ­Academy au ­Massachusetts. Il évolua quelques saisons dans le système des ­Maple ­Leafs, mais comme bon nombre d’espoirs, il ne se rendit jamais dans la ­LNH. Il débuta plutôt un long parcours avec un nombre impressionnant d’équipes dans pratiquement toutes les ligues professionnelles possibles ­d’Amérique du ­Nord et d’Europe.

Lorsqu’on découvre les histoires de ces joueurs nomades, on est d’abord amusé puis étourdi par tant de mouvement. On pense premièrement que ce ne doit pas être facile de vivre une existence aussi instable à trimbaler ses valises d’une ville à l’autre. Difficile de fonder une famille et d’en rester proche par exemple. On se dit toutefois que l’amour du jeu l’emporte sur tout et qu’il y a toujours pire dans la vie. Mais dans le cas de ­Paul ­Vincent, il y a effectivement eu pire et le mode de vie précaire de joueur de hockey n’était vraiment pas si terrible, considérant la manière dont sa vie a commencé.




Comme je vous le disais, ­Vincent est né le 5 janvier 1975 à ­Utica. Cependant, il ne s’agit pas de son vrai nom. Son prénom serait plutôt ­Tyrone et on ignore son vrai nom de famille. Sa mère était d’origine raciale mixte et son père était blanc. Alors qu’il n’était âgé que de six mois, sa mère l’abandonna dans la rue. Selon lui, c’était parce que sa peau n’était pas assez foncée, une source de honte pour sa mère. Son frère ainé ­Curtis­, âgé de seulement quatre ans, s’enfuit alors de la maison pour le secourir. 

Les deux jeunes frères, dont un encore trop jeune pour marcher, vécurent dans la rue, squattant des immeubles abandonnés et mangeant dans les poubelles. Le jeune ­Tyrone aurait même été suffisamment affamé pour avoir à se rabattre sur des écailles de peinture. Des docteurs émirent plus tard l’hypothèse que cette peinture devait contenir du plomb, ce qui lui aurait causé des déficiences de développement et d’apprentissage. Ils ont vécu environ six mois dans ces conditions terribles avant d’être enfin recueillis par les services sociaux. Ils passèrent ensuite trois ans dans un orphelinat de ­Boston pour être finalement tous les deux adoptés par ­Paul ­Vincent ­Sr. et sa femme ­Sylvia.

Vous comprenez alors que l’inaccessible ­LNH et les nombreux voyages en autobus ne sont vraiment pas des tragédies pour lui. Dans une rare entrevue accordée au ­Augusta ­Chronicle en 2001, ­Vincent déclara que d’être abandonné par sa mère fut probablement la meilleure chose qui lui soit arrivé. S’il était resté dans cette famille, il croit qu’il aurait abouti dans un gang de rue ou qu’il aurait été davantage maltraité par sa mère. 

Mais au lieu de ça, il a rejoint une famille aimante et fut rebaptisé du nom du père, soit ­Paul ­Vincent ­Jr. Le paternel était le fondateur d’une des meilleures écoles de patinage aux ­États-Unis et fut longtemps entraîneur dans la ­NCAA pour ­Boston ­College et la ­Rensselaer ­Polytechnic Institute. Il quitta momentanément ses fonctions dans les années 90 alors que sa femme était malade (elle mourut en 1997) mais revint par la suite comme entraîneur en perfectionnement du patinage à l’emploi du ­Lightning, des ­Bruins, ­des ­Blackhawks et plus récemment des ­Panthers.

Paul Vincent Sr. comme assistant entraineur à Chicago


C’est dans ce meilleur environnement que le jeune ­Paul ­Vincent ­Jr. apprit rapidement à patiner et il se révéla qu’il était un naturel. Il connut toutefois des difficultés d’apprentissage et il misa tout sur le hockey en abandonnant son collège privé après sa sélection au repêchage pour joindre les ­Thunderbirds de ­Seattle de la ­WHL en vue de la saison ­1993-94.

Il fit ses débuts professionnels l’année suivante lors de deux matchs avec les ­Maple ­Leafs de ­Saint-Jean de ­Terre-Neuve mais revint rapidement avec les ­Thunderbirds qui l’échangèrent peu après aux ­Broncos de Swift Current. Il termina au quatrième rang de la ­WHL avec 59 buts cette ­saison-là. Il joua ensuite pour les ­IceCaps de ­Raleigh dans la ­ECHL en ­1995-96 en plus d’une dizaine de matchs à ­Saint-Jean de ­Terre-Neuve. Malgré une récolte de points raisonnable, il joua ses derniers matchs dans l’organisation des ­Leafs en ­1996-97 sans jamais vraiment s’attirer la faveur du grand club, passant la majorité de la saison avec les ­Rivermen de ­Peoria.

C’est ainsi que son parcours nomade débuta, parcours parmi les plus impressionnants que j’aie vu jusqu’à maintenant. Et j’en ai vu une bonne batch. Après avoir constaté cette enfance tragique, je crois approprié de lui rendre justice et décortiquer son admirable parcours dans plusieurs villes secondaires d’Amérique du ­Nord. C’est en prime un voyage rétro dans plusieurs ligues défuntes et obscures avec tout plein d’équipes aux noms les plus débiles les uns que les autres, chose que j’adore particulièrement. ­Concentrez-vous ici parce qu’il y aura beaucoup de villes, de statistiques et d’abréviations de ligues...

Il rejoignit d’abord la ­United ­Hockey ­League (UHL) en ­1997-98, saison qu’il partagea entre trois villes (­Winston-Salem, ­Flint et ­Saginaw). Le scénario se répéta avec trois autres clubs en ­1998-99, d’abord les ­K-Wings du ­Michigan (IHL) suivi d’un saut dans une autre ligue, la ­Western ­Professionnal ­Hockey ­League (WPHL) avec les ­Ice ­Pirates de ­Lake ­Charles et les ­Jackalopes d’Odessa.

Autre saison, trois autres clubs pour ­Vincent en 1999‑2000 avec cinq matchs dans la ­AHL à ­Hershey et cinq autres dans la IHL à ­Kansas ­City. Il passa toutefois la majorité de la saison avec son club de l’année précédente à ­Odessa où il obtint 42 buts en 42 matchs, sa meilleure production à vie.

Il revint dans la ­ECHL en ­2000-01 avec les ­Lynx d’Augusta et les ­RiverBlades d’Arkansas pour ensuite faire un arrêt dans la ­Central ­Hockey ­League (CHL) avec les ­Outlaws de ­San ­Angelo pour la saison ­2001-02. Retour à son pattern de trois équipes en ­2002-03, cette fois dans trois ligues différentes ; les ­Barracudas de ­Jacksonville dans la ­Atlantic ­Coast ­Hockey ­League (ACHL), les ­River ­Otters du ­Missouri (UHL) et aussi sa première incursion en ­Europe avec les ­Boretti ­Tigers d’Amsterdam où il remporta le championnat de la ligue des ­Pays-Bas.

Ensuite, ça ne fait que devenir plus étourdissant. En ­2003-04, il joua pour cinq clubs dans trois ligues. D’abord un retour dans la ­ECHL pour la millième fois avec ­Augusta et les ­Everblades de la ­Floride. Il fit ensuite partie de ces quelques chanceux à avoir joué dans la très éphémère ­WHA2, une ligue ­semi-pro qui devait servir de base comme ligue de développement pour une nouvelle version de l'AMH  mais qui fut très rapidement dissoute. Vincent joua pour deux clubs de cette ­« ­semi-ligue », les ­Loggerheads de ­Lakeland et les ­Slammers de l’Alabama. 

On eut également la chance de l’avoir parmi nous au ­Québec avec sa cinquième formation de l’année, le ­Mission de ­St-Jean de la ­Ligue de ­Hockey ­Senior ­Majeur du ­Québec (LHSMQ), ancêtre de la ­LNAH. Il demeura au ­Québec en ­2004-05 avec le ­RadioX de ­Québec et les ­Dragons de ­Verdun en plus de retourner pour un match dans la ­UHL avec les ­IceHogs de ­Rockford. Il passa ensuite dans une nouvelle ligue, la ­Southern ­Professionnal ­Hockey ­League (SPHL), avec une des équipes au nom les plus délicieusement épicés de l’histoire, les ­FireAntz de ­Fayetteville. Non, ce n’est pas une faute de frappe, c’est bien ­FireAntz avec un « Z ».

En ­2005-06, il revint dans la ­CHL pour une dizaine de matchs avec les ­Ice ­Bats d’Austin et les ­Steelhounds de ­Youngstown. Il s’agissait toutefois de son chant du cygne dans les circuits mineurs ­nord-américains car il quitta le ­Sud profond pour le club de ­Trondheim en ­Norvège. Il joua ensuite de 2006 à 2012 pour quatre clubs en six saisons, principalement dans la ligue des ­Pays-Bas. Ces équipes n’ont certes pas des noms aussi exotiques que les clubs sudistes de la ­SPHL et autres ­WHA2 mais je crois qu’il s’agit d’un différent type d’exotisme avec différents enchaînements de voyelles et de consonnes.



­Il joua dans l’ordre pour les ­Amstel ­Tijgers, ­HYS ­The ­Hague, ­Eindhoven ­Kemphanen ainsi que les superbement nommés ­« ­A6.NL ­Heerenveen ­Flyers »­... On dirait davantage une section de formulaire qu’un nom d’équipe de hockey. Il joua aussi quelques matchs en ­Norvège à travers tout ça. Il prit sa retraite après la saison ­2011-12, mais demeura aux ­Pays-Bas comme ­assistant-entraîneur en deuxième division hollandaise en plus d’entraîner l’équipe des ­M18 et ­M20. Il s’établit par la suite en ­Belgique comme ­entraîneur-chef du ­HYC ­Herentals, également dans cette ligue des ­Pays-Bas, où il reprit même du service comme ­joueur-entraîneur durant quatre matchs en ­2014-15. Il fut ensuite entraîneur des ­Bulldogs de ­Liège dans la ligue du ­Bénélux, formée de l’union des ligues hollandaise et belge, où il rechaussa encore les patins pour quelques matchs.

Au final, ­Paul ­Vincent aura donc joué professionnellement pour 26 équipes en ­Amérique du nord dans 10 ligues différentes et pour huit autres équipes en ­Europe. En regardant de plus près, je crois qu’il est un des seuls à avoir joué dans toutes les principales ligues mineures de son époque (AHL, ­IHL, ­ECHL, ­UHL, ­WPHL, ­CHL, ­ACHL, ­WHA2, ­SPHL et ­LNAH). Il y a ­peut-être une ou deux autres ligues que j’oublie, mais rendu là, c’est très profond...

Il demeure très en contact avec son frère ­Curtis, toujours établi au ­Massachusetts. Pour sa part, ­Paul ­Vincent ­Sr. a pu amener la ­Coupe ­Stanley dans la famille en 2010 alors qu’il était à l’emploi des ­Blackhawks. Il s’implique toujours à ­Dartmouth ­College dans la ­NCAA, mais seulement à titre bénévole. Vincent ­Sr. fut au coeur de la saga ­Kyle ­Beach avec les ­Blackhawks en 2010. Après avoir été agressé sexuellement par un des entraîneurs adjoint des ­Blackhawks, la première personne à qui s’est confié ­Beach fut ­Paul ­Vincent, qui fut également la première personne que ­Beach remercia lorsqu’il sortit de l’ombre en 2021.

Et comme tout bon journeyman légendaire qui se respecte et qui n’arrête jamais, j’apprends, plusieurs mois après l’écriture initiale de ce texte, que ­Paul ­Vincent ­Jr était de retour en action en ­2021-22 comme joueur en quatrième division hollandaise avec le club ­Alcmaria ­Flames ­Alkmaar. Désormais âgé de 47 ans, il a obtenu 15 buts en 5 matchs... Depuis, il chausse également les patins au moins une fois par saison, j'imagine pour dépanner son équipe, cette fois-ci les Lions de Dordrecht, toujours en 4e division néerlandaise...


mercredi 22 mai 2024

Reprise du draft d'expansion de 1991



 

 

Vous connaissez probablement l'histoire qui a mené les défunts North Stars du Minnesota à obtenir les droits sur le légendaire Guy Lafleur à l'été 1991. Sinon, laissez-moi vous la résumer.

Suite à plusieurs accords bizarres, les North Stars purent participer au repêchage d'expansion de 1991 en compagnie des nouveaux Sharks. Ils avaient obtenu ce droit afin de compenser leurs pertes de personnel suite au départ de leurs anciens propriétaires et quelques-uns de leurs prospects au profit de San Jose. 

Cependant, les choix offerts par les équipes étaient bien pauvres en talent, avec des exigences d'admissibilité très faciles à contourner, au point de pouvoir y mettre des joueurs qui avaient pris leur retraites des années auparavant. C'était tellement mince en options que que lorsque vint le tour de choisir parmi les attaquants disponibles chez les piteux Nordiques de l'époque, le DG des North Stars Bobby Clarke élut son choix sur nul autre que Guy Lafleur, malgré le fait que ce dernier avait déclaré qu'il prenait sa retraite après la saison 1990-91 qui venait de se terminer. Afin de garder Lafleur dans l'organisation après sa retraite, les Nordiques refirent l'acquisition des droits sur Lafleur le lendemain en retour des droits sur Alan Haworth, qui jouait alors en Europe depuis plusieurs saisons.

On a bien ri à l'époque de cette situation absurde et on en rit encore. Mais le fait demeure que Lafleur était bel et bien disponible comme choix et Bobby Clarke a probablement voulu en jouer une à la LNH afin de protester contre l'absurdité évidente de la situation et les problèmes de personnel que lui créèrent cette défusion menant à la naissance des Sharks. D'ailleurs, parmi les quelques joueurs obtenus par les North Stars, aucun n'eut un rôle d'importance avec l'équipe, la plupart étant même échangés de nouveau à d'autres équipes pour d'autres pièces de rechange.

Le Soleil, 30 mai 1991
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Ce repêchage bizarroïde m'a toujours fasciné, comme tout ce qui concerne la génèse Seals/Barons/North Stars/Sharks en fait, et j'en rajoute encore une couche aujourd'hui avec une expérience un peu spéciale. Aujourd'hui, je me métamorphose en Bobby Clarke de 1991 et je refais entièrement sa job au repêchage d'expansion. 

Mais ma mission est toutefois différente. Comme les Nordiques n'étaient pas les seuls à avoir mis disponibles des joueurs à la retraite, cette version de Bobby Clarke opte d'aller all-in. Au lieu d'essayer de trouver quelques pièces de rechange pouvant peut-être un jour donner quelque chose dans la LNH, je vais plutôt complètement saboter mon poste en repêchant le plus de joueurs retraités et/ou non-disponibles et/ou blessés permanents et/ou presque morts parmi les choix réels offerts par les autres équipes à l'époque.

Oui c'est le genre de choses qu'on fait ici...

Je modifie toutefois quelque peu les règles. À l'époque, les Sharks et les North Stars pouvaient seulement sélectionner 10 joueurs chacun. Donc si les Sharks prenaient par exemple un joueur des Bruins, les North Stars ne pouvaient plus en prendre un des Bruins. On va donc bypasser ça pour aujourd'hui et permettre de  repêcher un joueur par équipe, la seule règle étant de ne pas dépasser 12 attaquants, 6 défenseurs et 2 gardiens.

Allons-y donc. Ça va être le fun.

Vous avez d'abord pour chaque équipe la liste des joueurs disponibles, suivi de mon choix. Les joueurs à la retraite sont en italique avec entre parenthèse l'année de leur dernier match dans la LNH, ou dans certains cas l'AMH. Oui oui, l'AMH.


DÉTROIT
Attaquants: John Chabot, Marc Habscheid, Chris Macrae, Bengt-Ake Gustafsson, Murray Eaves, Bernie Federko (1991)
Défenseurs:
Brad Marsh, Dean Morton, Dave Lewis (1988), Mike O'Connell (1990)
Gardiens:
Alain Chevrier, Glen Hanlon, Randy Hansch

Alors à Détroit, le choix était évident pour mon premier attaquant, soit Bernie Federko, le nouvellement retraité depuis quelques semaines et fameusement obtenu en retour de Adam Oates, comme quoi je ne suis pas le DG le plus débile de la ligue. Dans mes autres choix de joueurs retraités, j'avais les défenseurs Dave Lewis et Mike O'Connell, ainsi que le gardien Glen Hanlon, mais lui il ne le savais pas encore qu'il avait joué son dernier match. Il y avait aussi Bengt-Ake Gustafsson, un habile attaquant suédois qui avait quitté pour l’Europe depuis deux ans, mais lui je le laisse aux Sharks.

Donc bienvenue chez les North Stars, Bernie. Voici bien sûr ta carte O-Pee-Chee prête d'avance pour la prochaine saison.

HARTFORD
Attaquants: Mikael Andersson, Terry Yake, André Lacroix (1980), Larry Pleau (1979-AMH)
Défenseurs: Dave Babych, Marc Bergevin, Brian Chapman, John Stevens, Emanuel Viveiros
Gardiens: Daryl Reaugh

Pas vraiment le choix de prendre le meilleur pointeur de l'histoire de l'AMH, le seul et unique André Lacroix. Ça va faire du bien de le revoir sur les glaces de la LNH pour la première fois depuis la saison 1979-80, alors qu'il fit partie de la première édition des Whalers dans la grande ligue.


BOSTON
Attaquants: Andy Brickley, John Carter, Lou Crawford, Peter Douris, Nevin Markwart, Willi Plett (1988), Louis Sleigher (1986)
Défenseurs: John Mokosak, Allan Pedersen, Jim Wiemer, Gord Kluzak (1990), Frank Simonetti (1988)
Gardiens: Norm Foster

Ici j'avais quand même un choix déchirant avec la disponibilité du grand Willi Plett chez les Bruins. Mais je me devais de choisir un bon défenseur à moment donné et j'ai donc choisi le premier choix au total en 1982, Gord Kluzak. Retraité à seulement 27 ans, on a pas affaire à un vieil homme comme un Jean Béliveau (disponible à Montréal) mais je crois que même Béliveau a de meilleurs genoux que Kluzak en 1991. Ayant subi 11 opérations lors des trois saisons précédentes, Kluzak avait dû prendre sa retraite prématurément en novembre 1990. 


NEW JERSEY
Attaquants: Doug Brown, Pat Conacher, Jeff Madill, Kent Nilsson, Janne Ojanen, Walt Poddubny, Claude Vilgrain
Défenseurs: Jamis Huscroft, Marc Laniel, David Marcinyshyn, Lee Norwood, Jeff Sharples, Murray Brumwell, Michel Bolduc (1983), Bob Lorimer (1986)
Gardiens: Craig Billington, Roland Melanson, Bob Sauvé (1989)

Le moment est bien choisi de prendre un gardien. Et tant qu'à faire, pourquoi ne pas choisir le co-récipiendaire du trophée Vézina de 1980 et du Jennings de 1985, nul autre que Robert «Bob» Sauvé.

Il y avait bien aussi le légendaire Kent Nilsson qui n'avait pas été vu sur les glaces de la LNH depuis 1987 à Edmonton. Mais celui-ci a encore plusieurs années devant lui dans sa Suède natale et prendra finalement sa retraite en 1998, donc il ne fite pas du tout avec la philosophie de mon équipe.



PHILADELPHIE

Attaquants: Don Biggs, Mike Bullard, Rod Dallman, Brian Dobbin, Mark Freer, Chris Jensen, Tim Kerr, Dale Kushner, Normand Lacombe, Glen Seabrooke (1989), Bobby Clarke (1984), Bill Barber (1984)
Défenseurs: David Fenyves, Mark Howe, Shaun Sabol, Willie Huber (1988)
Gardiens: Pete Peeters


Quoi? Moi, Bobby Clarke, suis disponible sur la liste de mon ancienne équipe, les Flyers, avec qui j'ai joué mon dernier match en 1984 et qui a apparemment toujours mes droits. J'ai même été DG après ma retraite comme joueur. Bande d'ingrats. Me semble que je suis libre de mes propres droits...

Mais anyway, difficile de m'auto-exclure. De toute manière, je suis probablement encore meilleur que tous ces rejets et autres retailles des Flyers. Sauf peut-être Mark Howe qui ira probablement me rejoindre au temple de la renommée plus tard. Donc oui je m'auto-choisis. En plus ça va sauver un salaire...


MONTREAL

Attaquants: Brent Gilchrist, Mats Naslund, Jim Nesich, Ryan Walter, Dan Woodley, Bruce Baker (1981), Jean Béliveau (1971), Yvan Cournoyer (1979), John Ferguson (1971), Bob Gainey (1989), Pierre Mondou (1985), Mario Tremblay (1986)
Défenseurs: Jean-Jacques Daigneault, Donald Dufresne, Sylvain Lefebvre, Jayson More, Jean Hamel (1984)
Gardiens: Frédéric Chabot, Ken Dryden (1979)


Ouf! La liste du Canadien est loadée man!! Vraiment l'équipe qui a le plus abusé du système, tout en offrant quand même quelques très bons choix comme Brent Gilchrist, Sylvain Lefebvre et Jean-Jacques Daigneault... Je suis surpris que Serge Savard s'est pas inclus dans la liste lui aussi. Tant qu'à faire il aurait pu aussi mettre Howie Morenz et Georges Vézina...

Mais bref faut bien choisir et c'est pas le choix qui manque chez le CH. Malgré que je pourrais frapper un home-run avec Ken Dryden dans les buts ou Jean Béliveau au centre, je voudrais pas rendre jaloux mon coach Bob Gainey sur qui je porte définitivement mon choix. 

Heille, c'est pas tous les jours qu'on aura la chance de voir un duo joueur entraîneur et joueur DG sur la même ligne...


BUFFALO

Attaquants: Francois Guay, Jeff Hamilton, Jan Ludvig (1989), Steve Ludzik, Mikko Makela, Gates Orlando, Greg Paslawski
Défenseurs: Brian Curran, Dale DeGray, Don McSween, Lee Fogolin (1987), Dirk Rueter, Steve Smith, Honnu Virta, Jay Wells
Gardiens: Steve Weeks

Pas mal moins de joueurs retraités chez les Sabres. Dommage, j'aurais bien aimé ajouter Gilbert Perreault à ma liste. Mais je vais me rabattre sur l'ex-Oiler Lee Fogolin à la défense, quand même un pas pire choix et un autre joueur qui a remporté la coupe.


ST.LOUIS
Attaquants: David Bruce, Yves Heroux, Steve Tuttle, Ron Wilson, Ed Beers (1986), Paul MacLean (1991), Brian Sutter (1988)
Défenseurs: Dominic Lavoie, Harold Snepsts, Scott Paluch, Tom Tilley, Alain Vigneault (1983), Ed Kea (1983)
Gardiens: Darrell May, Alain Raymond

Du bon choix à St.Louis. Toujours tentant de choisir Ed Beers ou Harold Snepsts, et ce pour n'importe quel choix que tu pourrais avoir dans la vie. Mais bon, il faut y aller au mérite et on va choisir Brian Sutter. Celui-ci devra toutefois accepter de démissionner de son poste d'entraîneur des Blues pour venir jouer au Minnesota. Mais je lui laisserai pas le choix. Il pourra pas refuser de jouer sur la même ligue qu'André Lacroix.


EDMONTON
Attaquants: Dan Currie, Fabian Joseph, Mark Lamb, John Leblanc, Tommy Lehman, Ken Linseman, Max Middendorf, Shaun Van Allen, Mike Ware, Craig Redmond, Dave Hunter (1989)
Défenseurs: Mario Barbe, John English, Greg Hawgood, Charlie Huddy, Tomas Jonsson, Marc Laforge, Norm Maciver, Selmar Odelein, Reijo Ruotsalainen, Glen Cochrane (1989)
Gardiens: Pokey Reddick


Pas beaucoup de choix juteux à Edmonton mais quand même, Dave Hunter c'était tout un dur et je pense qu'il a encore un peu de gaz dans le réservoir. Il a juste 33 ans en fait. Sinon mon seul autre retraité était Glen Cochrane. Je sais pas c'est qui Glen Cochrane et Google existe pas encore en 1991 alors on y va pour Hunter.


CALGARY
Attaquants: Rich Chernomaz, Kerry Clark, Paul Fenton, Tim Hunter, Brian MacLellan, Sergei Pryakhin, Jim Peplinski (1990)
Défenseurs: Kevan Guy, Rick Lessard, Scott McCrady, Brian Engblom (1987)
Gardiens: Steve Guenette

Ici je voulais prendre Jim Peplinski mais il le sait pas que plus tard il va faire un comeback avec les Flames en 1995. Sinon je voulais réunir les frères Tim et Mark Hunter mais on m'a dit que c'était même pas des frères. Anyway il va jouer jusqu'en 1997 donc c'est non. Donc quand on sait pas trop quoi faire, on choisit un défenseur alors voici notre nouveau membre de la brigade défensive, Brian Engblom.

Bienvenue Brian.


VANCOUVER
Attaquants: Peter Bakovic, Craig Coxe, Andrew McBain, Stan Smyl (1991), Marc Crawford (1987), Darcy Rota (1984)
Défenseurs: Brian Blad, Jack Capuano, Ian Tennant, Ian Kidd, Robert Nordmark, Risto Siltanen, Carl Valimont, Randy Gregg (1990), Larry Melnyk (1990), Behn Wilson (1988), Paul Reinhart (1990)
Gardiens: Bob Mason


Une bonne cuvée à Vancouver avec Randy Gregg, Marc Crawford ou bien Paul Reinhart. Mais ici pas le choix d'y aller avec le plus grand Canuck de tous les temps, et il y en aura probablement jamais de meilleur là-bas. Stan Smyl vient tout juste de prendre sa retraite, mais je crois qu'il va facilement se laisser convaincre, car nos chandails sont pas mal plus beaux que les Canucks.


 

TORONTO
Attaquants: Normand Aubin, Aaron Broten, Lucien DeBlois, Mike Foligno, Todd Hawkins, Kent Hulst, Greg Johnston, Kevin Maguire, Mike Millar, Dave Reid, Mike Stevens, Gilles Thibaudeau, Dan Maloney (1982), Brad Smith (1987), Greg Terrion (1988)
Défenseurs: Jerry Dupont, Rob Ramage, Bill Kitchen (1985)
Gardiens: Damian Rhodes


Ici, Toronto m'offre un total de 15 attaquants et seulement 3 défenseurs. Edmonton m'offrait un éventail de 22 joueurs tandis que d'autres équipes comme Hartford m'en offraient seulement 10 ou 11. C'est comme si les règlements étaient du grand n'importe quoi...

Mais bref ici on va y aller avec Dan Maloney comme attaquant de soutien. 451 points en 737 matchs c'est pas pire du tout. Et c'est celui qui est le plus vieux de la gang alors go.

Un habile stratège ici des Leafs qui ont fait joué un seul match au gardien Damian Rhodes en 1990-91, seulement pour qu'il soit éligible à ce repêchage d'anthologie. Mais ça marche pas avec moi ces techniques. Trop jeune, ce Damian Rhodes.


CHICAGO
Attaquants: Martin Desjardins, Paul Gillis, Michel Goulet, Jim Johannson, Brian Noonan, Warren Rychel, Mike Stapleton, Dan Vincelette, Bill Watson, Sean Williams, Cliff Koroll (1980)
Défenseurs: Bruce Cassidy, Rick Lanz, Bob McGill, Jim Playfair, Dave Feamster (1985)
Gardiens: Greg Millen, Darren Pang (1989)

Chez les Blackhawks, j'ai bien osé repêcher Michel Goulet, mais ce bon vieux Michel a encore quelques bonnes années devant lui alors ça ne marche pas. Darren Pang, lui, a les genoux complètement finis comme Gord Kluzak alors c'est parfait.


WINNIPEG
Attaquants: Bryan Erickson, Bob Joyce, Mark Kumpel, Tyler Larter, Scott Schneider, Phil Sykes, Jim Vesey, Bob Brooke (1990)
Défenseurs: Randy Carlyle, Dallas Eakins, Todd Flichel, Moe Mantha, Chris Norton, Roger Ohman, Kent Paynter, Rudy Poeschek, Daryl Stanley (1990)
Gardiens: Tom Draper

Pas une grosse cuvée à Winnipeg avec seulement Bob Brooke et Daryl Stanley comme joueurs officiellement retraités. Ça n'a pas un gros cachet. Il y aurait toujours Randy Carlyle, mais je crois qu'il lui reste encore un bon deux ans d'activité dans la vraie vie.

Dans ce cas-ci on va y aller avec Moe Mantha. Si je regarde ma boule de crystal, je crois qu'il va à peine jouer en 1991-92. De toute manière, avec un nom comme Moe Mantha, il pourrait avoir 22 ans et je le croirais pas. Moe Mantha = 55 ans minimum dans ma tête alors c'est parfait.

En plus comme bonus, il a déjà joué au Minnesota il y a quelques saisons alors j'aurai même pas à faire trop de Photoshop pour sa carte, ou quelque soit la technologie en cours en ce moment en 1991.


WASHINGTON
Attaquants: Robin Bawa, Tim Bergland, Craig Duncanson, Brent Hughes, Rob Murray, Mike Richard, Steve Seftel, Dave Tippett, Alfie Turcotte, Simon Wheeldon
Défenseurs: Chris Felix, Mark Ferner, John Kordic, Neil Sheehy, Terry Murray (1982)
Gardiens: Mike Liut

Un seul véritable joueur retraité à Washington avec leur entraineur et ex-défenseur Terry Murray, qui lui aussi devra faire comme Brian Sutter et redevenir joueur avec nous. Avec autant de joueurs-entraîneurs de 40 ans et +, ça va s'obstiner longtemps sur les stratégies mais on va vivre avec.

Dommage quand même pour Mike Liut... mais il lui reste encore de la vraie carrière en 1991-92.



NEW YORK RANGERS
Attaquants: Paul Broten, Lee Giffin, Jody Hull, Kelly Kisio, Guy Larose, Joe Paterson, Dave Archibald, Pierre Larouche (1988), Anders Hedberg (1985)
Défenseurs: Stéphane Guérard, Mark Hardy, Lindy Ruff, André Villeneuve (1988)
Gardiens: Bob Froese, Mark Laforest, Sam St-Laurent

Alors pour les Rangers, j'ai hésité longtemps entre la légende des Jets de Winnipeg du temps de l'AMH Anders Hedberg ou bien Pierre Larouche, l'ancien marqueur prolifique du Canadien et des Penguins, et aussi avec les Rangers (48 buts en 1983-84, donc y'a pas si longtemps). Mais finalement je choisis Pierre Larouche. Comme il a déjà joué avec Guy Lafleur, la chimie devrait encore opérer 10 ans plus tard au Minnesota.



NEW YORK ISLANDERS
Attaquants: Bill Berg, Brad Dalgarno, Rob DiMaio, Paul Gagné, Brad Lauer, Derek Laxdal, Hubie McDonough, Mick Vukota, Kevin Herom, Jim Koudys, Garry Lacey, Kurt Lackton, Mark Hamway (1987), Don Maloney (1991)
Défenseurs: Jeff Finley, Rick Green, Chris Pryor, Stefan Persson (1986), Denis Potvin (1988)
Gardiens: Jeff Hackett, George Maneluk

Ici j'aurais pu réunir les frères Don et Dan Maloney, mais non je n'ai autre choix que de sélectionner mon ancien grand rival Denis Potvin qui sera assurément notre défenseur numéro un en 1991-92. Il a pris sa retraite après la saison 1987-88 malgré une saison de 51 points alors je crois qu'il a encore des choses à prouver.


LOS ANGELES
Attaquants: Scott Bjugstad, Mal Davis, Ilkka Sinisalo, Jim Thomson, John Tonelli
Défenseurs: Bob Halkidis, Rick Hayward, John Miner, Petr Prajsler, Tim Watters, Tom Laidlaw (1990)
Gardiens: Mario Gosselin

Ici c'est un peu décevant pour Los Angeles avec seulement un joueur réellement retraité et il s'agit d'un défenseur et j'ai déjà mes 6 défenseurs... Alors pour plaire à mon défenseur numéro un, je fais une exception et je sélectionne plutôt son ancien coéquipier John Tonelli. Marqueur prolifique et sous-estimé, Tonelli en est tout de même à ses derniers milles dans la vraie vie alors que selon ma boule de crystal, il jouera une dernière saison en 1991-92 partagée entre Los Angeles, Chicago et Québec. Il est donc un très bon fit dans mon équipe.


PITTSBURGH
Attaquants: Jock Callander, Jay Caulfield, Jeff Daniels, Randy Gilhen, Jiri Hrdina, Kim Issel, Mark Kachowski, Peter Lee, Dave Michayluk, Glenn Mulvenna, Barry Pederson, Bryan Trottier
Défenseurs: Gilbert Delorme, Gord Dineen, Randy Hillier, Bob Gladney (1984)
Gardiens: Bruce Racine, Wendell Young

Comme les Kings, les Penguins n'ont pas reçu le mémo comme quoi ils pouvaient loader leurs choix avec le plus de joueurs retraités possibles. Au lieu de ça j'ai seulement un no-name comme Bob Gladney et ses 14 matchs en carrière dans la LNH. Et je pensais que Gilbert Delorme était à la retraite mais finalement non, il joue encore dans la IHL...

Donc on va faire comme avec les Kings et tenter de recréer encore plus la dynastie des Islanders en sélectionnant nul autre que Bryan Trottier, lui qui vient d'ailleurs de battre mon équipe en finale la semaine passée...


QUÉBEC
Attaquants: Alan Haworth, Jeff Jackson, Trevor Stienberg, Alain Côté (1989), Guy Lafleur (1991)
Défenseurs: Gerald Bzdel, Mario Doyon, Miloslav Horava, Brent Severyn
Gardiens: Mario Brunetta, Scott Gordon


Ouf. Je suis d'accord avec le Bobby Clarke de la première dimension sur le fait qu'il n'y a pas beaucoup de choix chez les Nordiques. Seulement 11 joueurs au total en plus. Mais dans l'optique de ma vision pour cette nouvelle équipe, j'ai le dernier choix parfait en Guy Lafleur. Nouvellement retraité le temps d'un tour au chalet et maintenant de retour dans la LNH dans un nouveau domicile au Minnesota, Guy pourra retrouver ses anciens coéquipiers Bob Gainey et Pierre Larouche en plus de nombreux grands rivaux de son temps comme Denis Potvin, ses comparses des Islanders ainsi que bien sûr, moi-même, Bobby Clarke.



C'était donc mes choix en tant que Bobby Clarke circa 1991 en vue de la nouvelle mouture des North Stars en 1991-92. Cet alignement complet devra travailler dur pour déloger mes jeunes joueurs comme Mike Modano, Neal Broten et Brian Bellows mais on sait jamais.


ATTAQUANTS:

Guy Lafleur - Bobby Clarke - Brian Sutter
Bob Gainey - Bryan Trottier - John Tonelli
Pierre Larouche - André Lacroix - Bernie Federko
Mike Hunter - Dan Maloney - Stan Smyl

DÉFENSEURS:

Denis Potvin - Gord Kluzak
Lee Fogolin - Brian Engblom
Moe Mantha - Terry Murray

GARDIENS:
Bob Sauvé
Darren Pang


Ça va être tout un match des anciens. 

Je suis quand même déçu de ne pas avoir pu prendre Jean Béliveau ou Yvan Cournoyer ou Ken Dryden. Peut-être que je pourrais échanger au CH mes droits sur Lou Nanne et Bill Goldsworthy en échange de ceux de Béliveau...

Et vous? Si vous étiez Bobby Clarke en 1991, qui auriez-vous pris?

Et si j'étais plutôt le DG des Sharks? 

... à suivre.


lundi 20 mai 2024

Histoires de cartes: Joueurs au banc




 

Ça fait longtemps qu'on a pas mis une batch de cartes avec une thématique quelconque. 

Alors voici une autre batch de cartes avec une thématique quelconque.

Le quelconque du jour étant: des joueurs pris en fragrant délit d'être au repos au banc de leur équipe, soit en train d'attendre leur prochain shift, de s'étirer ou bien au banc des pénalités.

 

Du Coke au lieu du Gatorade? Pour le match des étoiles, ça devait passer.
Oui je sais c'est sûrement juste un sticker...


Pas la meilleure carte de Shanahan mettons...

Un joueur qui était Konstant dans sa routine d'avant-match.


Esa Tikkanen avec un faciès typique d'Esa Tikkanen

Calle Johansson avec un regard de tueur dans un glorieux casque JOFA rond.
Que demander de plus pour être heureux?


Souris pas trop Randy. Tu t'en vas jouer pour les Nordiques dans pas long.

Caméo de Dave Brown sur cette carte de Kirk Maltby.

Denis Savard 2.0 à Chicago

Mon corps de quarantenaire a mal aux hanches juste à regarder cette photo...

Caméo d'Alexander Mogilny (#89)

Lâche pas Paul. Il te reste encore 3 autres équipes avec qui jouer.

Caméo de Valeri Bure en arrière-plan.

Le logo «B» sur ce chandail voulait surement dire «Banc des joueurs»

Caméo de ton grand-père Adrien sur cette carte de Petr Nedved.

Malgré qu'on le voit ici pas en action, Joé Juneau a véritablement été candidat au trophée Calder, contrairement aux 3/4 des joueurs qui ont eu cette bannière sur leur carte Pakhurst 92-93...

Eddie Johnston était le 3e gardien d'équipe Canada à la série du Siècle derrière Ken Dryden et Tony Esposito. Il était donc beaucoup sur le banc, mais un banc de parc apparemment.

Malheureusement, le grand sous-estimé Mike Liut était davantage sur le banc en fin de carrière avec les Capitals.
 

Beau close-up sur cette bouteille de Gatorade sur cette carte de Randy Burridge.

 

On se revoit dans pas long pour une autre batch.