jeudi 30 mai 2013
Pause Pub - The Steak Loft
Avec le temps, les connaissances en matière de nutrition ont beaucoup évolué et on ne risque plus de voir une telle pub de nos jours...
lundi 27 mai 2013
Wayne Stephenson
Après un passage dans la
Ligue Junior du Manitoba (les ligues de l’ouest n’étant pas
encore unifiées), Wayne Stephenson prit le chemin du programme de l’équipe
nationale et du hockey international.
C’est en 1966 qu’il devint le gardien auxiliaire, derrière Seth Martin
(voir texte du 26 février 2013), qui était en place depuis longtemps. Il vit très peu d’action au cours des
tournois du championnat du monde en 1966 et 1967, mais il eut tout de même
droit à une médaille de bronze lors des deux occasions.
Lors de l’expansion de 1967, Martin se joignit aux nouveaux Blues de
St.Louis, ce qui laissa le champ libre à Stephenson. Celui qu’on surnommait « Fort
Wayne » saisit sa chance et joua un rôle important lorsque le Canada mit
la main sur la médaille de bronze aux Jeux Olympiques de Grenoble. Stephenson participa encore aux championnats
du monde en 1969, à Stockholm. Cette
fois, le Canada termina quatrième.
Il y eut toutefois une dispute au sujet du championnat de 1970. Celui-ci devait avoir lieu à Montréal et à
Winnipeg et finalement admettre les professionnels. (Les meilleurs joueurs soviétiques,
officiellement payés par l’armée, n’étaient pas considérés comme
professionnels. Mais dans les faits, ils
se consacraient presque entièrement au hockey et surclassaient les Canadiens, qui
étaient de vrais amateurs.) Lorsque la
chose ne se fit pas, le Canada se retira non seulement de l’organisation, mais
aussi du tournoi. Il fallut attendre
jusqu’en 1977 avant de revoir une équipe canadienne aux championnats du monde
et jusqu’en 1980 pour les Olympiques.
Devant ces faits, le programme national perdit de sa pertinence. Le Père David Bauer, qui s’en occupait jusque
là, s’en retira, lui qui était en désaccord avec l’utilisation des
professionnels aux Olympiques.
De son côté, Stephenson y resta jusqu’en 1971, avant de faire le saut
dans la LNH. Comme dans le cas de Seth
Martin quelques années plus tôt, ce sont les Blues de St.Louis qui firent signe
au gardien de l’équipe nationale. Après
une saison passée principalement avec leur filiale, une opportunité se créa
pour la saison 1972-73. Le gardien
régulier de l’équipe, Ernie Wakely, décida alors de tenter l’aventure de l’AMH
avec les Jets de Winnipeg. Stephenson
vit donc beaucoup d’action pour les deux saisons suivantes (45 et 40 matchs
respectivement), mais après un début canon dans la ligue, les Blues retombaient
sur terre et vivaient des moments de grande instabilité au niveau de leur
gestion. (voir texte du 19 octobre 2011)
Les résultats furent donc assez moyens.
De leur côté, les Flyers de Philadelphie venaient tout juste de gagner
leur première Coupe Stanley, avec leur style pour le moins agressif. Devant le filet, ils comptaient sur le brio de
Bernard Parent, qui avait joué 73 matchs.
Son adjoint, Bobby Taylor, n’en avait joué que 8. Se jugeant vulnérable en cas de blessure à
Parent, les Flyers envoyèrent un choix de deuxième ronde aux Blues en retour de
Stephenson.
Du point de vue de la compétition, la position de Stephenson
s’améliorait grandement. D’ailleurs,
elle lui permit de mettre la main sur une bague de la Coupe Stanley en
1974-75. Toutefois, il ne joua que douze
parties cette année-là.
En 1975-76, Parent fut blessé la majeure partie de la saison, ce qui
laissa beaucoup plus de place à Stephenson.
Il joua 66 matchs en saison régulière, participa au match des étoiles et
fut devant le filet pour toutes les parties de la finale (perdue aux mains des
Canadiens). De plus, bénéficiant de son
expérience internationale, il fut devant le filet lors de la rencontre
« amicale » contre l’équipe de l’Armée Rouge. (Au cours de ce match, l’entraîneur
soviétique retira son équipe de la patinoire en guise de protestation contre un
coup qu’assena Ed Van Impe à sa super étoile Valeri Kharlamov.)
Pour les trois saisons suivantes, Stephenson fut encore à la merci de
Bernard Parent, ce qui lui causa une certaine frustration. Tant qu’il était en santé, Stephenson jouait
peu. Lorsqu’il se blessait, Stephenson
jouait plus.
Le 17 février 1979, Parent subit une blessure qui mit fin à sa carrière,
lorsqu’un bâton trouva son chemin dans le trou de l’œil de son masque. Stephenson termina alors la saison. Toutefois , les Flyers
décidèrent ensuite de faire maison nette devant le filet, en faisant confiance
au vétéran Philippe Myre, acquis des Blues, et à la recrue Pete Peeters. Stephenson fut échangé aux faibles Capitals
contre un choix de troisième ronde.
Stephenson devint finalement numéro 1 à Washington, jouant 56 matchs en
1979-80. Par contre, la situation ne
dura pas. Il fut blessé au cours de la
saison suivante et joua ainsi les 20 derniers matchs de sa carrière.
Stephenson alla par la suite travailler dans le secteur bancaire, dans
le mid-ouest américain.
En 2008, on lui diagnostiqua un cancer au cerveau, qui l’emporta
finalement en 2010, à l’âge de 65 ans.
Sources :
« Remembering Stephenson » de Bill Meltzer, 8 août 2010 (iihf.com),
legendsofhockey.net, wikipedia.org.
samedi 25 mai 2013
Histoire de cartes - On prend la pose!
vendredi 24 mai 2013
Le numéro 6 des Red Wings...
En regardant la série entre les Hawks et les Red Wings, il m'apparaît étrange, d'un point de vue de fan du Canadien, que bien des numéros de la première dizaine soient en circulation. Si seulement deux numéros ne sont pas retiré dans la première dizaine chez le Canadien (le 8 et le 6 qui aurait dû être retiré il y a longtemps en honneur de Toe Blake), ces deux équipes ont des numéros disponibles assez intéressant. Par exemple, on peut voir que le 2, le 4, le 7 et le 8 sont toujours toujours en circulation chez les Hawks et le 2, le 4 et le 8 sont utilisé chez les Wings... En regardant de plus près, je me suis aperçu qu'un numéro était une source de dispute depuis les années 50 et n'avait jamais été utilisé depuis chez les Wings, le numéro 6.
Histoire assez intéressante...
De fait, trois personnes ont porté le numéro 6 chez les Red Wings depuis la fondation de l'équipe, en 1926...
Le premier fut un dénommé Jack Walker. Walker fit parti de la première version des Red Wings en 1926, alors que l'équipe se nommait les Cougars de Detroit. À cette époque, Walker était un joueur sur le déclin, lui qui avait remporté précédemment la Coupe Stanley avec toutes les équipes avec lequel il évolua, soit avec les Blueshirts de Toronto en 1914, avec les Metropolitans de Seattle en 1917 et avec les Cougars de Victoria en 1925. Lorsque la franchise de Detroit fit l'acquisition des droits des Cougars de Victoria en 1926, Walker s'amena dans la ville de l'automobile pour évoluer durant ses deux seules saisons dans la NHL avant de prendre le chemins de ligues inférieurs dans l'Ouest où il était considéré comme un grand joueur. C'est donc lui, qui à l'arrivée des Wings portait le numéro 6. Il fut intronisé au Temple de la Renommé en 1960.
C'est toutefois le cas des autres joueurs qui ont porté le numéro 6 qui pose plus problème.
Larry Aurie fut en quelque sorte la première vedette des Red Wings. Évoluant de 1927 à 1939 avec les Wings, il fut l'un des artisans des deux première Coupe Stanley de l'équipe, en 1936 et en 1937. D'ailleurs, durant cette même année 1936-37, il fut le meneur de la NHL pour les buts et fut nommé sur la première équipe d'étoile de fin de saison de la NHL. Rongé par les blessures, Aurie ne put continuer à évoluer dans la NHL après la saison 1937-38 s'orienta vers des ligues inférieures. Suite à ce, le propriétaire des Red Wings James Norris décida de retirer le numéro 6 de son joueur vedette. Aurie joua un seul match de plus dans la NHL en janvier 1939, évoluant encore par la suite quelques saison avec le club-école des Red Wings, les Hornets de Pittsburgh.
C'est dans les années 50 lorsqu'un cousin de cette ancienne vedette des Red Wings, un dénommé Cummy Burton (et non Burton Cummings), se joint à la même équipe. À l'époque, la famille d'Aurie (alors décédé) lui donna alors la permission de porter son numéro 6. Contrairement aux tenanciers précédents de ce numéro, Burton ne connut pas une carrière remarquable, se résumant à 43 matchs entre 1955 et 1959.
Aussitôt le passage de Burton avec les Wings, le chandail numéro 6 de la vedette des Cougars/Falcons/Red Wings retourna dans le panthéon des grands numéros retirés, étant exposé parmi les autres chandails retirés des Wings à l'entrée du légendaire Olympia.
C'est toutefois lorsque Mike Illitch se porta acquéreurs des Red Wings dans les années 80 que le numéro d'Aurie commença à sombrer dans l'oubli. Comme pour la plupart des équipes de la NHL, c'est dans les années 90 que la plupart des numéros des grands joueurs des Red Wings furent immortalisés au plafond du Joe Louis Arena :
-Le numéro 1 de Terry Sawchuk fut retiré en 1994
-Le numéro 7 de Ted Lindsay fut retiré en 1991
-Le numéro 9 de Gordie Howe fut retiré en 1972
-Le numéro 10 d'Alex Delvecchio fut retiré en 1991
-Le numéro 12 de Sid Abel fut retiré en 1995
Suivant ce mouvement, plusieurs se questionnèrent sur le pourquoi le numéro 6 de Larry Aurie ne figurait pas dans les plans de l'équipe de retirer officiellement ce numéro. Malgré les pressions, le propriétaire Mike Illitch refusa obstinément de mettre ce numéro au sommet du Joe Louis Arena. En 1997, le vice-président de l'équipe, Jimmy Devellano, mentionna dans une entrevue que l'équipe refusait de suspendre le numéro 6 parce que Larry Aurie n'était pas un membre du Temple de la Renommée et que le débat était clos...
C'est donc une situation assez paradoxale, l'équipe ayant refusé et exposé ce numéro par le passé refuse, sous une nouvelle administration, d'honorer ce numéro parce que le joueur n'a pas été intronisé au Temple de la Renommée. (Je vous rappelle que les Devils ont retiré le numéro de Ken Daneyko...) L'ironie selon moi repose également dans le fait que le Temple de la Renommée est de nos jours une institution qui ne reconnaît que trop peu certains joueurs oubliés par le passé. On aime mieux, question marketing, introniser des joueurs comme Dino Ciccarelli ou El Belfour plutôt que de se pencher sur des joueurs qui par le passé auraient été oubliés pour des raison parfois imbéciles (comme des joueurs ayant joué dans la WHA comme Jean-Claude Tremblay) ou parce qu'ils n'ont simplement jamais joué dans la NHL comme ces légendes de la AHL ou du hockey international...
Ce n'est payant ni pour le Temple de la Renommée, ni pour les Red Wings, d'immortaliser un joueur qui bien que central à son époque, il a d'ailleurs participé au premier match des étoiles de la NHL, a été oublié, parce que la job d'historien de hockey, c'est une affaire de geek pour les geeks!
Par contre, bien que le 6 aurait été remis en circulation par les Red Wings suite à ce "statement", personne n'a jamais daigné le porter. Le 16 de Vladimir Konstantinov est également un numéro non retiré qui n'est pas utilisé...
De 1975 à 2000, le Official NHL Guide And Record Book reconnaissait le numéro d'Aurie comme était retiré, c'est la direction de l'équipe qui aurait demandé de retirer cette mention...
Ça me rappelle étrangement la mention du retrait du numéro 4 du Canadien pour et Jean Béliveau et Aurèle Joliat... Mais ça c'est une autre histoire...
jeudi 23 mai 2013
Pause Pub - Montclair
Est-ce qu'il y en a qui se souviennent de la petite ritournelle de Montclair avec Mario Tremblay?
https://www.youtube.com/watch?v=g265kKaf-ZU
lundi 20 mai 2013
Jude Drouin
Être repêché par une équipe au sommet peut être une opportunité, mais ça peut aussi s’avérer un cadeau empoisonné. Le surplus de talent peut ralentir la progression d’un joueur et limiter ses chances de percer l’alignement. C’est un peu ce qui est arrivé au gaspésien Jude Drouin.
Choisi au troisième tour (17e au total) par les Canadiens en
1966, il arriva au sein d’une équipe dominante.
Une excellente saison avec les
Voyageurs de Montréal en 1969-70, comprenant le titre de recrue de l’année et
le championnat des compteurs de la Ligue Américaine ne suffit pas. En bout de ligne, il ne joua que douze matchs
avec le Bleu Blanc Rouge. À l’été 1970,
il prit le chemin du Minnesota, contre Bill Collins.
Ayant maintenant une vraie chance de se faire valoir, il ne mit pas de
temps à produire. Dès sa première année
avec les North Stars, il amassa 68 points, soit seulement quatre de moins que
l’éventuel gagnant du Trophée Calder (recrue de l’année), Gilbert
Perreault. Il fut de plus le meilleur
pointeur de son équipe.
Cette même saison fut toutefois marquée par un incident
regrettable. Pourtant pas un joueur
imposant et n’ayant pas l’habitude d’accumuler beaucoup de minutes de
pénalités, il s’en prit verbalement de façon véhémente à l’arbitre Bruce
Hood. Lorsque ce dernier lui donna une
pénalité pour mauvaise conduite, il devint furieux et chargea Hood, bâton en
main. Il fut arrêté au dernier moment
par ses coéquipiers, dont Jean-Paul Parisé (le père de Zach), qui eut pourtant un incident semblable
un peu plus tard, lors de la Série du Siècle.
Dans son rapport, Hood mentionna que le bâton de Drouin l’avait touché à
l’épaule. Drouin fut donc suspendu pour
trois matchs.
Drouin connut d’autres bonnes saisons offensives avec les North Stars,
atteignant son sommet personnel en 1972-73, avec 73 points. Sa production se mit toutefois à diminuer par
la suite et en janvier 1975, il fut échangé aux Islanders. Le changement d’air lui fit du bien, puisque
sa production augmenta, avant de connaître une autre baisse de régime. Insatisfait de son utilisation, il rata la
saison 1978-79 au complet, histoire de pouvoir ensuite gagner son autonomie. Il en profita alors pour se concentrer sur sa
chaîne de restaurants de fruits de mer à Long Island.
Il signa en 1979 avec Winnipeg, qui se joignait alors à la LNH en
provenance de l’Association Mondiale de Hockey (AMH). Il revint pour la saison 1980-81, mais prit
sa retraite après sept matchs. Il devint alors entraîneur-adjoint d’une équipe des
Jets qui finit la saison avec seulement 9 victoires et 32 points. Il ne fut pas de retour l’année suivante.
Sa fiche en carrière est de 151-305-456 en 666 matchs.
Sources:
legendsofhockey.net, hockeydraftcentral.com, wikipedia.org.
dimanche 19 mai 2013
Le shériff est en prison...
Vous vous souvenez certainement de ce film de 1974 de Mel Brooks intitulé Blazing Saddle que connaissez probablement sous son titre en français, Le shériff est en prison. J'ai étrangement pensé à ce film en écoutant à la radio le match des Marquis de Jonquières de vendredi dernier où cette équipe remporta la Coupe Canam, symbole du championnat de la LNAH. Ouais, n'ayant pas pu convaincre un ami d'aller voir le match à Sorel, j'ai dû me résoudre à l'écouter à la radio...
(Enfin, les Marquis sont champions!)
Je me suis mis alors à me demander lors de ce match ce qui se passait avec un des joueurs préféré de la foule des fans des Marquis, Sean McMorrow dit le Shériff...
Comme vous le savez sans doute, je suis d'origine saguenéenne, et lorsque j'ai l'occasion d'aller dans mon pays natal, j'essaie souvent d'aller voir le Marquis parce que je suis un gros fans le la LNAH. Honnêtement, je ne suis pas un fan de bagarre au hockey, j'aime mieux la robustesse durant les matchs et les beaux jeux de hockey, mais une bagarre de temps en temps ça a son importance dans un match de hockey, que vous ne le vouliez ou pas. Et les Marquis comptent depuis quelques années dans leur alignement parmi les plus redoutables bagarreurs disponibles. C'est ce qui a aidé à propulser cette équipe au sommet de cette ligue où les largesses en matière de discipline sont plus qu'ailleurs flagrantes. Et parmi ceux-cis, il y avait le Shériff, Sean McMorrow.
Dans les dernières années, Sean McMorrow a fait levé la foule du Palais des Sports de Jonquière avec des roche en place de ses poings et, ayant un sens du spectacle pour donner à son public fidèle, il faisait des gestes de fusils après ses combats victorieux... Et pour l'avoir vu plus d'une fois évoluer avec les Marquis, je dois dire que ça n'a pas l'air d'être de tout repos de se frotter à ce joueur. Ce favori de la foule par contre n'a pas joué cette saison avec les Marquis pour une raison, il est présentement en prison aux États-Unis...
Sean McMorrow est né en 1982 à Vancouver mais a grandit dans la région de Toronto. Il évolua dans la OHL de la saison 1999-2000 à la saison 2001-2002, portant les couleurs de 6 équipes. Ce policier d'ailleurs surnommé le "Shériff" fut repêché par les Sabres de Buffalo en 2000 dans la défunte 8e ronde. Après son passage chez les juniors, McMorrow se joint aux Americans de Rochester durant 4 saisons et aura la chance de jouer son unique match dans la NHL lors de sa première saison chez les pros, en 2002-2003, avec les Sabres.
Après ses 4 saisons avec les Americans où il fut un redoutable policier, McMorrow se retrouva sans contrat suite à la saison 2005-2006 et fut signé avec les Wolves de Chicago. Toutefois, devant la perspective d'avoir très peu de temps de glace durant la saison régulière, McMorrow quitta les Wolves en début de saison pour aller jouer avec le Top Design de St-Hyacinthe de la LNAH.
Lors de ce prenier passage dans la turbulente ligue québécoise, McMorrow connut un sommet personnel de 527 minutes de pénalité (en 48 matchs!) lors de la saison 2007-2008. McMorrow effactua un retour dans la AHL en 2008-2009 avec les Icehogs de Rockford avec qui il joua une saison avant de prendre le chemin de l'Irlande du Nord l'année suivante pour évoluer avec les Giants de Belfast de la toute aussi turbulente ligue britannique de de hockey.
L'année suivante, en 2010-2011, il joua une poignée de match en Écosse avec les Stars de Dundee avant de se joindre aux Marquis en plein milieu de la saison...
(On ne déconne pas avec le Shériff... Il portait même l'étoile sur son casque dans la ligue britannique...)
C'est alors qu'il évoluait avec les Marquis qu'il fut condamné pour trafic de marijuana et déporté aux USA pour emprisonnement. Les faits se seraient déroulés, selon les documents du FBI alors qu'il évoluait dans la AHL avec les Americans. McMorrow aurait fait passer de la marijuana entre les deux pays, entre un fournisseur de Toronto et la région de Buffalo, des poches de hockey souvent remplies d'environ 50 kilos de marijuana. On peut se poser des question à savoir pourquoi il n'a pas fait transporter des drogues qui valent plus cher, mais bon, les faits sont là... En 2004, McMorrow fut arrêté en possession de marijuana par les officiers des douanes canadienne en possession de 27000$ de marijuana. Ce n'est qu'en 2010 que le FBI émit un mandat d'arrêt contre McMorrow pour plusieurs fait commit durant son passage entre 2003 et 2005.
En mai 2012, il fut reconnu coupable de traffic de drogue aux États-Unis et condamné à 2 ans de prison... Il sera déporté au Canada aussitôt sa sentence complétée...
À noter que durant son passage avec les Americans de Rochester, il se mérita le trophée du joueur le plus impliqué dans la communauté de l'équipe... J'imagine que ce n'est pas pour avoir apporté du cannabis canadien dans cette ville...
Donc... Le shériff est en prison...
samedi 18 mai 2013
Histoire de cartes - Les vapeurs
jeudi 16 mai 2013
Pause Pub - Les épiceries
Au fil des années, plusieurs types de produits se sont associés au hockey et aux Canadiens pour faire leur publicité. Certains sont évidents, comme les boissons gazeuses, la bière, les voitures...
Mais qui aurait pensé aux chaînes d'épicerie? Pourtant plusieurs l'ont fait, incluant quelques unes qui aujourd'hui n'existent plus.
Richelieu
Dominion
Steinberg (un point bonus pour le petit jeu de mot)
Provigo (un concours qui permet de rejoindre autant les partisans des Canadiens que ceux des Nordiques)
Loeb (le jeu de mot est beaucoup moins original, par contre)
Maxi
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