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samedi 31 octobre 2015

Ces chandails du CH oubliés





Je ne vous apprendrai rien en mentionnant que le Canadien de Montréal a une riche histoire très documentée. Surtout depuis le centenaire de l'équipe en 2009, le nombre de publications historiques sur l'équipe n'a fait qu'augmenter et l'équipe elle-même n'hésite pas une seconde à replonger dans le passé. On n'a qu'à penser aux nombreuses cérémonies d'avant-match ou bien aux statues près du Centre Bell. En 2009, lors du centenaire, l'équipe a célébré en grande en sortant plusieurs uniformes commémoratifs durant la saison, ce qui a permis au grand public d'en savoir plus sur son histoire. Car malgré le fait que le Canadien a un chandail intemporel dont le look n'a pas beaucoup changé depuis longtemps, il y eut quand même plusieurs autres chandails portés par l'équipe. Mais encore là, je ne vous apprend rien, ces multiples variations du chandails sont très présentes dans l'imaginaire collectif...


Les chandails du centenaire


Mais on retrouve toutefois plusieurs autres chandails ou variations du chandails qui sont généralement ignorés par le grand public et dont il est difficile de retrouver des traces. Il faut dire que les temps ont changé car dorénavant, un simple changement mineur au chandail a maintenant une couverture médiatique incroyable que l'on ne retrouvait pas disons en 1935... Voici donc 6 chandails du CH que vous connaissez peut-être mais qui sont généralement méconnus.



1- Chandail de la saison 1911-1912

Le Canadien a porté 4 chandails différents lors de ses 4 premières saisons. J'ai déjà parlé de ce chandail 1911-1912 dans le passé et d'autres blogs en ont parlé également. Mais malgré plusieurs théories sur le sujet, le mystère demeure presque entier au sujet de ce supposé chandail. Aucune preuve photographique à l'appui si ce n'est que cette photo de Hector Dallaire, joueur d'utilité avec l'équipe durant 4 saisons. Mais sur cette photo, on ne retrouve pas la bande diagonale. Certains ont même laissé entendre que cette photo serait un uniforme d'une autre équipe et non pas du Canadien. Et selon le site du Canadien, Dallaire portait le #8 ou le #9 et non pas le #7 comme on peut entrevoir sur sa manche...


Source: La Glorieuse Histoire des Canadiens , Léandre Normand et Pierre Bruneau

La seule autre "preuve" existante de l'usage de ce chandail serait cette caricature de La Presse datant de 1911 où l'on peut apercevoir cette fameuse bande diagonale. Une autre théorie possible serait que l'illustrateur de cette caricature aurait prit une liberté créatrice en faisant l'ajout de cette bande afin de rendre l'uniforme plus intéressant visuellement. Quoiqu'il en soit, ce chandail remporte la palme comme le chandail le plus oublié de l'histoire du CH, ne se méritant même pas une réplique lors du centenaire de l'équipe...



2- Chandail de la saison 1912-1913

Lors de la saison 1912-1913, le CH commença à porter son fameux chandail "pôle de barbier". Mais comme les Sénateurs d'Ottawa utilisaient un chandail rayé similaire, ils firent une plainte à la ligue et selon le site du CH, ils auraient changé de chandail à la mi-saison pour celui démontré ici. J'ignore si ce chandail fut réellement porté pour le reste de la saison ou seulement contre les Sénateurs mais il marque toutefois un point tournant dans l'histoire de l'uniforme du CH alors que l'ajout de la bande horizontale sera désormais l'élément principal du look de l'équipe (en plus du logo bien sûr).



3- Chandail 1925-1935

Parlant du logo, celui-ci évolua également à mainte reprises après que l'équipe ait adopté la bande horizontale. Il débuta avec un "A" au lieu du "H", était tantôt unicouleur ou bien avait le "C" blanc au lieu de rouge. Mais jusqu'à nos jours, nous sommes habitués de ne le retrouver qu'une seule fois sur le chandail. Durant une période de 10 ans, l'équipe portait toutefois deux fois le "CH" sur son chandail. En plus du traditionnel positionnement au centre de la bande, on le retrouvait également sur la manche gauche du joueur, également au centre de la bande. Cette pratique débuta lors de la saison 1924-25 alors que le chandail du Canadien fut modifié pour célébrer leur conquête de 1924 et on retrouvait la mention "World Champion" au centre tandis que l'on retrouvait le "CH" sur chaque manche. Ce port du "CH" sur la manche fut oublié par la suite mais on le retrouva une fois de plus en 1991-92 lors des célébrations du 75ème anniversaire de la ligue.



4- Chandail blanc (vs. Détroit) - 1935-1941

À partir de la saison 1935-1936, l'équipe commença à porter un chandail blanc lors des parties à domicile contre les Red Wings qui eux aussi faisaient de même lors des parties à Détroit. Comme ça, ils n'avaient pas à emmener les deux versions lors de leurs voyages en train. Ce n'est qu'en 1941 qu'apparaîtra la version blanche contemporaine avec épaulettes rouges que l'on retrouve toujours de nos jours. Cette version blanche aurait connu deux variations de 1935 à 1941. Une avec les lignes bleues, blanches et rouges et l'autre sans ces bandes. Ce chandail demeure toutefois un mystère alors que je n'ai trouvé aucune photo de l'époque où l'équipe porte un chandail autre que le rouge traditionnel. Si jamais vous en avez une, faites-moi signe. 



5- Chandail blanc 194?-194?, 2003, 2006-2007, 2009

Après avoir commencé à porter le chandail blanc traditionnel à épaulettes rouges en 1941, le Canadien ajouta une nouvelle version vers le milieu des années 40. Il m'est impossible de confirmer exactement à quelle période ce chandail fut porté. Selon le site du club, il n'aurait été porté qu'en 1945 et 1946 et pas à tous les matchs mais plutôt en alternance avec le blanc régulier. Mais selon nhluniforms.com, il aurait été porté plus longtemps, soit de 1944 à 1947. Ce chandail fit un retour lors du match des anciens de la Classique Héritage en 2003 contre les Oilers et pour quelques matchs en 2006-2007 et lors de la saison du centenaire. S'il n'est pas nécessairement un des chandails les plus oubliés de l'histoire du CH, je trouve cependant qu'il est sous-estimé et mériterait vraiment de retrouver sa place de nos jours comme troisième chandail. Je sais que le chandail blanc actuel est un classique et ce serait criminel de le retirer mais celui-ci est nettement plus beau à mon avis. 



6- Chandail régulier 1939-1947


En terminant, voici un version comprenant un changement mineur qui est largement méconnu. Même à l'époque je crois que personne n'y porta vraiment attention. Le métier de geek de chandail ne devait même pas encore exister à l'époque. Mais de 1939 à 1947, les épaulettes rouges empiétaient sur les bandes horizontales des manches, ce qui donnait un résultat ... quelquonque. Ce n'était pas très uniforme d'un chandail à l'autre et il n'y avait aucun raisonnement logique derrière ce choix de design donc on revint à nos esprits en 1947 et on retrouva les manches complètes.

lundi 26 octobre 2015

Les Mott's Clamato's de Brantford



C’est en 1909 que la Coupe Allan a initialement été mise place. Le but était d’honorer les champions canadiens amateurs, puisque les équipes qui se disputaient la Coupe Stanley étaient maintenant professionnelles.



Avec le temps, sa vocation a changé. Elle récompense maintenant les champions de niveau senior.

On peut retrouver dans ce calibre de temps à autre un joueur ou deux qui se sont rendus à un haut niveau. Mais en 1986-87, une équipe s’est retrouvée avec un noyau de joueurs des plus intéressants.

En 1985-86, les Mott’s Clamato’s de Flamboro pouvaient déjà compter sur Blake Hull, le fils de Bobby et le frère de Brett, qui n’a toutefois pas joué professionnel. Ils ont également pu compter pour certains matchs sur Stan Jonathan, l’ancien petit dur des Bruins, Graeme Nicolson, un défenseur qui a joué pour les Bruins, les Rockies et les Rangers, et les anciens Leafs Rocky Saganiuk et Pat Graham.

L’année suivante, l’équipe a déménagé ses pénates à Brantford, la ville natale de Wayne Gretzky. Elle a par contre conservé son commanditaire et donc son nom cocasse et juteux.

Elle a aussi ajouté à son alignement deux autres anciens Leafs : le défenseur Fred Boimistruck, et le centre Stan Weir, qui a aussi joué avec les Golden Seals et les Oilers, en plus de Gord Brooks, un ancien des Blues et des Capitals.

La saison a débuté et l’équipe allait bien, mais il manquait un morceau : un gardien de but. On signa donc rien de moins que Don Edwards (voir texte du 28 septembre 2010), qui avait joué pour les Maple Leafs l’année précédente, et qui s’est tout de même mérité le Trophée Vézina en 1979-80 avec Robert Sauvé. Est-ce ce qu’on pourrait appeler ça une version de luxe d’une équipe de ligue de garage? (Sans vouloir porter atteinte au niveau senior, qui offre du très bon calibre.)


Sans surprise, les Mott’s Clamato’s terminèrent la saison régulière en tête, avec une fiche de 25-9. Par contre, bien que fortement favoris, la suite n’a pas été un pique-nique. Les Real McCoys de Dundas les ont poussé jusqu’à un septième match. Les Mott’s Clamato’s l’ont toutefois emporté 9-4, devant 2400 spectateurs.

L’étape suivante était la finale de l’est, alors que Brantford devait affronter les Capitals de St.John’s. Encore une fois, les ex-pros ne l’ont pas eu facile.

St.John's vendit chèrement sa peau, alors que les deux équipes se partagèrent les quatre premiers matchs. Lors du cinquième, les Terre-Neuviens ont tiré 52 fois sur le but, malgré une défense presque digne de la LNH, mais Edwards a fait des miracles. Ça peut être utile d’avoir un gagnant du Vézina devant le filet. Les Mott’s Clamato’s l’ont emporté 8-4. Le sixième match s’est joué en deuxième prolongation, alors que Brantford est passé en grande finale en battant St.John’s 3-2.

Les Mott’s Clamato’s ont donc disputé la vénérable Coupe Allan aux Maple Leafs de Nelson, de la Colombie-Britannique. La compétition a toutefois été moins chaude. Brantford a balayé la série en quatre matchs. L'histoire ne dit toutefois pas si pour célébrer leur victoire, ils ont bu du champagne ou des bloody caesars...


C’est ainsi que l’aventure des Mott’s Clamato’s s’est terminée puisque l’équipe, tout comme l’entièreté de l’OHA (Ontario Hockey Association) Senior A, a alors cessé ses activités.

Mais tout n’a pas été perdu. Don Edwards a contacté son ancien directeur-gérant, Cliff Fletcher, des Flames. Il l’a ensuite convaincu de donner un essai à son coéquipier Rick Barkovich, le joueur le plus utile à son équipe. Barkovich ne s’est pas rendu à la Ligue nationale, mais il a joué quelques saisons dans l’organisation des Flames.

Sources: “NHLers spiced up Clamatos; Allan Cup champs had talent to spare” d’Ed O’Leary, 11 avril 2008, Brantford Expositor (brantfordexpositor.ca), “Does Calgary’s Stan Weir cheer for the Oilers? Absolutely!” de Dave Staples, 2 avril 2008, Edmonton Journal (edmontonjournal.com), allancup.ca

samedi 24 octobre 2015

R.I.P. Jim Roberts



L’ex-joueur des Canadiens et des Blues est décédé d’un cancer, à l’âge de 75 ans.

Celui-ci s’était joint aux Canadiens en 1963-64. Dévoué, travailleur infatigable, mais pas spectaculaire et peu offensif, Roberts se mérita des Coupes Stanley en 1965 et 1966 en jouant en désavantage numérique. Par contre, lorsque vint l’expansion de 1967, Roberts fut victime du surplus de talent à Montréal. Laissé sans protection, il fut le premier choix des nouveaux Blues de St-Louis.

Au sein de sa nouvelle équipe, il assuma un rôle de meneur, en plus d’être polyvalent, car il pouvait autant jouer en défense qu’à l’aile. Il devint aussi brièvement leur capitaine (voir texte du 22 avril 2015).

En décembre 1971, Montréal refit son acquisition en envoyant Phil Roberto aux Blues. Les Canadiens faisant toujours partie de l’élite, Roberts remporta trois autres Coupes, en 1973, 1976 et 1977.

Il prit à nouveau le chemin de St-Louis en août 1977, lorsqu’il fut échangé aux Blues contre un choix de troisième ronde en 1979. Ce choix deviendra un autre leader qui excelle en désavantage numérique, Guy Carbonneau.

À sa retraite comme joueur en 1978, Roberts avait joué 1006 matchs, mais n’avait que compté 126 buts et accumulé 194 passes. 

Roberts alla ensuite rejoindre Scotty Bowman, pour qui il avait joué autant à St-Louis qu’à Montréal. Cette fois, Bowman était à Buffalo et Roberts devint son adjoint. Il fut entraîneur-chef pendant un moment en 1981-82, mais Bowman finit par reprendre sa place.

En 1984-85, il se dirigea vers Pittsburgh où, comme adjoint, il put accompagner Mario Lemieux à ses trois premièrs campagnes dans la Ligue nationale. Mais l’équipe ayant peu de succès, il quitta en même temps que l’entraîneur-chef Bob Berry (voir texte du 20 décembre 2011).

Il alla alors dans la Ligue américaine, avec les Indians de Springfield. Roberts mena ainsi la filiale des Islanders à deux Coupes Calder, en 1990 et en 1991. Il fut nommé entraîneur de l’année en 1990.

Il eut une autre chance dans la Ligue nationale comme entraîneur-chef, à Hartford cette fois. Roberts n’eut pas plus de succès que la plupart des autres entraîneurs qui ont défilé derrière le banc des Whalers. Ils firent les séries en dépassant les faibles Nordiques, mais sans plus. Ce fut sa seule saison à Hartford.

Après deux saisons à diriger leur filiale de Worcester dans la Ligue américaine, Roberts retourna une troisième fois à St-Louis, où il passa six autres saisons comme adjoint.


Sources : « Jim Roberts est mort », 23 octobre 2015 (radio-canada.ca), legendsofhockey.com, wikipedia.org.

mercredi 21 octobre 2015

Palmarès des premiers ministres du Canada



Lors de la dernière élection provinciale, un palmarès des premiers ministres du Québec avait été fait. (voir texte du 4 avril 2014) La récente élection fédérale nous donne l’occasion d’en faire un pour le Canada.

On se demande comment performera notre nouvel élu, Justin Trudeau, par rapport à ses prédécesseurs. Voici un palmarès de ceux-ci, selon un critère indiscutable qui évalue la qualité de leur travail : leur capacité à amener la Coupe Stanley au pays! Qui se préoccupe des finances publiques, du taux de chômage, de l'environnement ou de justice sociale lorsqu'on a la Coupe Stanley?

J’ai éliminé la période où la Coupe pouvait être décernée par défi, plusieurs fois par année. De toute façon, pendant cette période, seulement des équipes canadiennes jouaient pour la Coupe Stanley. J’ai donc débuté mon exercice en 1915. D’ailleurs, même à partir de ce point, les équipes américaines qui pouvaient aspirer à la Coupe étaient peu nombreuses. Les premiers ministres du début du 20e siècle sont donc avantagés, mais peu importe, ce n’est que pour s’amuser, aucunement sérieux et tout à fait sans prétention…


1) Lester B. Pearson 1963-68 Libéral 4/4 100%


Introduction du drapeau actuel, du régime de pensions du Canada, refus de s'engager dans la Guerre du Viêt-Nam.

Note parfaite pour le Prix Nobel de la paix. Il est le meilleur premier ministre de l'histoire. Au cours de son règne, une équipe canadienne a remporté la Coupe Stanley à chaque année.

2 x Canadiens
2 x Maple Leafs


2) Arthur Meighen 1920-21, 1926 Union / Conservateur 1/1 100%

Meighen a aussi une note parfaite, mais son règne a été plus court.

1 x Senators



3) John Diefenbaker 1957-63 Progressiste-conservateur 5/6 83%


Déclaration canadienne des droits, premier à nommer une femme dans son cabinet, octroi du droit de vote aux autochtones

Diefenbaker a livré la marchandise, puisque pendant son règne, une seule équipe américaine, Chicago en 1961, a remporté la Coupe Stanley.

3 x Canadiens
2 x Maple Leafs



4) Robert Borden 1911-20 Conservateur / Union 4/5 80%


Première guerre mondiale, crise de la conscription, signature du Traité de Versailles, octroi du droit de vote aux femmes au niveau fédéral, introduction de l'impôt sur le revenu

Une seule équipe américaine, Seattle de la ligue du Pacifique, a mis la main sur la Coupe lors du règne de Borden. Par contre, il était aussi là lorsque la Coupe de 1919 a dû être annulée en raison de l’épidémie de grippe espagnole. (voir texte du 28 octobre 2009)

1 x Millionaires de Vancouver
1 x Canadiens
1 x Arenas de Toronto
1 x Senators



5) Brian Mulroney 1984-93 Progressiste-conservateur 7/9 78%


Traité de libre-échange avec les États-Unis, traité sur les pluies acides, lutte contre l’Apartheid, Accords du Lac Meech et de Charlottetown, Protocole de Montréal sur la couche d'ozone, Sommet de la terre, réforme de la taxe de vente

Malgré qu’il ait servi alors que la LNH avait plusieurs équipes américaines, Mulroney s’en tire à merveille. Seulement les Penguins l’ont empêché d’obtenir une fiche parfaite.

4 x Oilers
2 x Canadiens
1 x Flames


6) R.B. Bennett 1930-35 Conservateur 3/5 60%

Création de la Banque du Canada, de la Commission canadienne du blé et de la Canadian Radio Broadcasting Commission, ratification du Statut de Westminster

Bennett a dû se démener avec la Grande Dépression, mais au moins, la population a pu se consoler avec trois Coupes Stanley…

1 x Canadiens
1 x Maple Leafs
1 x Maroons


7) Mackenzie King 1921-26, 26-30, 35-48 Libéral 13/22 59%


Premier envoi de diplomates canadiens, affaire King-Byng, Deuxième guerre mondiale, crise de la conscription, création de Trans-Canada Airlines, adhésion aux Nations-Unies

Personnalité controversée, King a connu le plus long règne. Il n’est donc pas surprenant que ce soit sous son régime que les équipes canadiennes aient remporté le plus de Coupes. En pourcentage par contre, il se retrouve en milieu de peloton.


5 x Maple Leafs
4 x Canadiens
2 x Senators
1 x Maroons
1 x Cougars de Victoria


8) Louis St-Laurent 1948-57 Libéral 5/9 56%

Entrée de Terre-Neuve dans le Canada, adhésion à l’OTAN, Voie maritime du St-Laurent, Autoroute transcanadienne

Pendant le règne de St-Laurent, les équipes canadiennes, au milieu de la période des « Original Six », ont remporté la Coupe un peu plus d’une fois sur deux. Il s'agissait d'une période où les Red Wings obtinrent leur part de succès.

3 x Canadiens
2 x Maple Leafs


9) Pierre Elliott Trudeau 1968-79, 80-84 Libéral 9/17 53%


Loi sur les langues officielles, crise d’octobre, établissement de relations avec la Chine et Cuba, abolition de la peine de mort, référendum, rapatriement de la constitution, création de Pétro-Canada

Comme King, Trudeau aussi a connu un long règne, mais pendant une période où il y avait plus d’équipes américaines. Malgré tout, les équipes canadiennes (principalement les Canadiens) ont connu du succès. En fait, c’est sous lui que les Canadiens ont remporté la Coupe le plus souvent.

8 x Canadiens
1 x Oilers


10) Jean Chrétien 1993-2003 Libéral 0/10 0%

Référendum, loi sur la clarté, création du Nunavut, opposition à la guerre en Irak, Protocole de Kyoto

Sur la base du hockey, ses résultats sont tout simplement nuls… Aucune équipe canadienne n’a soulevé la Coupe pendant les années Chrétien.


10) Stephen Harper 2006-15 Conservateur 0/10 0%

Motion sur la nation québécoise, retrait du questionnaire long du recensement, retrait du Protocole de Kyoto, abolition du registre des armes à feu

Grand amateur de hockey, Harper a eu beau écrire un livre à ce sujet, les résultats sur la patinoire n’ont pas été mieux que pendant que Chrétien était au 24, Sussex.


12) Paul Martin 2003-06 Libéral 0/1 0%

Loi sur le mariage civil, Commission Gomery

Non seulement aucune équipe canadienne n’a soulevé la Coupe pendant son (court) règne, mais en plus, il perd des points puisque c’est à ce moment que la saison a été annulée en raison du lock out…

La Coupe Stanley n’a pas été décernée pendant les règnes de Joe Clark, John Turner et Kim Campbell.


Où se classera Justin Trudeau?

lundi 19 octobre 2015

Bob Barlow



Bob Barlow fait partie de ces joueurs qui ont vu leurs perspectives de carrière dans la Ligue nationale limitées par le fait qu’il n’y avait que six équipes. Après avoir passé quelques années dans la Ligue américaine avec les Barons de Cleveland et les As de Québec, c’est finalement dans l’ouest, dans la WHL, qu’il se fit une place.

En 1962-63, il se joignit aux Totems de Seattle (voir texte du 16 février 2012), où il s’entendit à merveille avec Guyle Fielder. (voir texte du 17 août 2011) Alors que Fielder remporta le championnat des pointeurs de la ligue, il obtint 80 passes, dont plusieurs d’entre elles servirent à alimenter Barlow, qui marqua 47 buts.

Barlow demeura à Seattle pendant trois ans, avant de se retrouver à Victoria, avec les Maple Leafs. À sa première saison dans leur uniforme, les Leafs remportèrent la Coupe Lester-Patrick, emblème de de la suprématie de la WHL.

Lorsque l’expansion de 1967 est finalement arrivée, Barlow n’a pas eu sa chance. Il est demeuré dans l’organisation torontoise, mais ceux-ci l’ont transféré à leur premier club ferme, les Americans de Rochester de la Ligue américaine. Barlow en profita alors pour ajouter une Coupe Calder à son palmarès, même si l’expérience dans l’est fut de courte durée. L’année suivante, il retourna dans la WHL, avec Vancouver. Pour une troisième fois en quatre ans, Barlow fit partie de l’équipe championne, et sa performance de 36 buts et 84 points lui ouvrit finalement des portes.

Il se retrouva dans l’organisation des North Stars du Minnesota, où il put enfin accéder à la LNH. Le 12 octobre 1969, à l’âge de 34 ans, il est devenu la plus vieille recrue de la Ligue nationale. (Son record a depuis été battu par Connie Madigan, voir texte du 3 septembre 2013.) Mais sa journée mémorable ne s’est pas arrêtée là. À sa première présence sur la glace, après six secondes, il marqua son premier but. Et comme victime, il ne s’agissait pas du moindre. C’est Bernard Parent qui gardait les buts des Flyers. À son retour au banc, Barlow n’a pas pu s’empêcher de taquiner son entraîneur Wren Blair en lui disant que cette ligue n’avait rien de spécial et qu’on aurait dû le rappeler depuis des lustres… Le record Barlow du but le plus rapide à son entrée dans la ligue tient toujours.

Barlow termina la saison avec une fiche de 16-17-33. L’année suivante, il joua 7 autres matchs avec les North Stars, avant de retourner dans la WHL, avec les Roadrunners de Phoenix cette fois. Barlow y ajouta une troisième et une quatrième Coupe Lester-Patrick, en 1973 et en 1974.

La saison suivante, la plupart des marchés traditionnels de la WHL avaient reçu une équipe de la LNH ou de l’AMH, incluant Phoenix. Barlow joua donc une saison dans l’AMH, avec les nouveaux Roadrunners. La WHL, ligue dans laquelle Barlow marqua près de 300 buts, cessa ses activités. La Coupe Lester-Patrick se retrouve maintenant au Temple de la renommée.

En 1975-76, Barlow passa une dernière saison dans le monde du hockey dans la CHL, alors qu’il joua quelques matchs et fut pendant une demi-saison entraîneur des éphémères Mavericks de Tucson.

Bob Barlow habite aujourd’hui sur l’île de Vancouver. Ayant joué pendant la période où le fonds de pension des joueurs était chiche, sa carrière de 77 matchs dans la LNH lui donne droit à un chèque de 5,16$ à tous les mois…

Sa fille Wendy a été championne canadienne de tennis. Elle a joué à Wimbledon et a représenté le Canada à la Fed Cup.

Sources :
Stott, Jon C., Ice Warriors : The Pacific Coast / Western Hockey League 1948-74, Heritage House Publishing, 2011,

″He was the oldest NHL rookie ever and he scored in seconds″ de Tom Hawthorn, 12 septembre 2010, The Globe and Mail (theglobeandmail.com), hockeydb.com, legendsofhockey.net, wikipedia.org.

mercredi 14 octobre 2015

Wayne Rutledge








Le match de dimanche passé entre le Canadiens et les Sénateurs nous offrit le premier duel entre deux gardiens obtenant leur premier départ dans la LNH depuis le 14 octobre 1967 entre Doug Favell des Flyers de Philadelphie et Wayne Rutledge des Kings de Los Angeles. Bien que je sache très bien qui est Favell, le nom de Rutledge ne me disait strictement rien. Pourtant, il a marqué l'histoire des Kings de Los Angeles. (Non, ce n'est pas parce qu'il se faisait photographier avec un oeil-au-beurre-noir)

Wayne Alvin Rutledge naquit en 1942 à Barrie en Ontario. C'est d'ailleurs avec les Flyers de sa ville natale qu'il fit ses débuts juniors dans la Ontario Hockey Association lors de la saison 1959-60, jouant 47 des 48 matchs de l'équipe. Il suivit l'équipe lors du déménagement à Niagara Falls pour les deux saisons suivantes avant de joindre les rangs des ligues semi-pro en 1962-63. Après de rapides passages avec les Comets de Clinton de la Eastern Hockey League et les Frontenacs de Kingston de la Eastern Professional Hockey League, Rutledge trouva sa niche avec les Bulldogs de Windsor dans le Senior A, avec qui il gagna la coupe Allan, alors emblème de la suprématie du hockey Senior.

Rutledge disputa une autre saison avec les Bulldogs, cette fois dans l'International Hockey League, puis deux saisons avec les Rangers de St-Paul/Minnesota dans la Central Professional Hockey League. Lors de sa deuxième saison au Minnesota, Rutledge se fit découvrir par les Rangers, de New-York cette fois, grâce à une saison de 7 blanchissages et une place sur la deuxième équipe d'étoiles de la CPHL. Les Rangers de New York lui offrirent alors un contrat des ligues mineures en le confiant à leur équipe d'Omaha, les Knights. À la fin de la saison, la LNH procéda à sa première expansion depuis des décennies. Rutledge ne fut pas protégé par les Rangers et les nouveaux Kings de Los Angeles firent son acquisition. 

Lors de sa première saison dans la grande ligue, Rutledge allait partager le filet avec un Terry Sawchuck en fin de carrière. Malgré le statut de Sawchuck, c'est Rutledge qui eut l'honneur de disputer le premier match de l'histoire des Kings, le 14 octobre 1967 (il y a 48 ans jour pour jour) contre les Flyers de Philadelphie. Les Kings remportèrent le match 4 à 2. En décembre de la même année, Rutledge obtint le premier blanchissage de l'histoire des Kings contre les Blues de St-Louis. Il disputa en tout 45 matchs devant le filet des Kings (contrairement à 36 pour Sawchuck).

L'arrivée de Gerry Desjardins en 1968 pour combler le départ de Sawchuck vers Détroit relégua Rutledge au bout du banc, ne disputant que 37 matchs lors des deux saisons suivantes. Lors de la saison 1970-71, n'ayant plus de place pour lui, les Kings l'assignèrent aux Spurs de Denver de la Western Hockey League où il vit plus d'action. Il disputa ensuite la saison 1971-72 avec les Golden Eagles de Salt Lake, étant devant le filet pour 60 matchs de l'équipe, ce qui lui permit d'être nommé sur la deuxième équipe d'Étoiles.

L'arrivée de l'Association Mondiale en 1972 sourit à Rutledge alors qu'il trouva finalement sa niche après avoir été repêché par les Aeros d'Houston. Il fut l'adjoint de Don McLeod lors des deux premières saisons, disputant 62 matchs en deux saisons et remportant la coupe Avco en 1973-74. Il devint ensuite le second de Ron Grahame lors des trois saisons suivantes. L'arrivée du vétéran Ernie Wakely lors de la saison 1977-78 lui montra la porte de sortie, alors qu'il ne disputa que 12 matchs.

Wayne Rutledge retourna dans son Ontario natal après avoir accroché ses jambières. Il mourut d'un cancer de l'estomac à l'âge de 62 ans en octobre 2004.

Fiche dans la LNH : 28v - 37d - 9n, 2 blanchissages
Fiche dans l'AMH : 94v - 72d - 7n, 6 blanchissages

lundi 12 octobre 2015

Frank Shaughnessy



Pour souligner le premier match à domicile des Redmen de McGill, qui aura lieu vendredi l'aréna McConnell, voici un billet au sujet du polyvalent Frank Shaughnessy, qui a été leur entraîneur, autant au hockey qu'au football.

Frank ″Shag″ Shaughnessy a pris tous les moyens pour pouvoir vivre du sport. Pour y parvenir, il a occupé une multitude de postes dans plusieurs sports, souvent simultanément, et il n'a pas eu peur d'innover.

À partir de 1901, ce natif de l’Illinois joua au football et au baseball à l’Université Notre Dame.

En 1905, il accéda aux Ligues majeures de baseball en jouant un match avec les Senators de Washington. Il eut ensuite une deuxième chance en 1908 avec les Athletics de Philadelphie, alors qu’il en joua huit autres.

L’année suivante, il entreprit une longue carrière de gérant dans les ligues mineures, où en plus de 25 ans, il remporta plus de 1000 matchs. (Il a également été brièvement instructeur chez les Tigers de Détroit.)

Du côté du football, il œuvra comme entraîneur au sein de prestigieuses universités comme Yale, Cornell et Clemson. C’est lui qui introduisit le jeu d’option.

En 1912, il vint prêt de s’entendre avec les Rough Riders d’Ottawa, ville d’où était originaire son épouse. Par contre, l’Université McGill renchérit et il devint le premier entraîneur professionnel au football universitaire canadien. À l’époque, ce mouvement fut accueilli froidement, au sein d’un sport qui était toujours amateur, non seulement au niveau universitaire, mais également au niveau des clubs.

Shaughnessy passa 17 saisons à la tête des Redmen, période pendant laquelle il introduisit plusieurs tactiques utilisées aux États-Unis, quitte à en irriter quelques-uns. Il mit entre autre en place la défensive avec une ligne secondaire (plutôt que sur une seule ligne). Il introduisit également la passe avant lors d’un match amical contre Syracuse, en 1921. Il prit ensuite 10 ans de démarches pour convaincre les hautes instances d’adopter cette règle qui était déjà en place aux États-Unis depuis 1906.

Son équipe remporta la Coupe Yates (alors symbole due la suprématie du football universitaire canadien) en 1912 et 1913. Shaughnessy refusa par contre que McGill joue pour la Coupe Grey (les équipes universitaires y étaient à ce moment éligibles). Il craignait que cette compétition nuise aux examens de ses étudiants, sans compter qu’ils auraient dû affronter des joueurs plus vieux et expérimentés. Cette prise de position lui fit d’ailleurs gagner des points parmi ses collègues qui n’aimaient pas l’idée que l’université embauche un entraîneur professionnel. Il remporta une troisième Coupe Yates en 1919.

En 1915, alors que la ligue universitaire avait suspendu ses activités en raison de la guerre, Shaughnessy se retrouva entraîneur des Rough Riders d’Ottawa de l’IRFU (Interprovincial Rugby Football Union, future division est de la Ligue canadienne de football), équipe qu’il devait initialement diriger. L’IRFU suspendit ensuite à son tour ses activités. Lorsque tous reprirent leurs activités, Shaughnessy retourna à McGill.

Il fut également gérant des Senators d’Ottawa de la NHA (National Hockey Association, l’ancêtre de la Ligue nationale de hockey) de 1914 à 1916.

Il continua par la suite à être impliqué au niveau du hockey, à McGill cette fois, en dirigeant les Redmen version hockey de 1919 à 1927. Il a également été entraîneur de l’équipe féminine pendant un moment. Il alla ensuite diriger l’équipe de football de Loyola College, aussi à Montréal.

Par la suite, l’omniprésent Shaughnessy trouva un moyen de revenir à Montréal, par l’entremise du baseball cette fois. Il fut entraîneur des Royaux de la Ligue international de 1934 à 1936.

En 1936, il devint président de cette même ligue, poste qu’il conserva jusqu’en 1960. Toujours innovateur, il introduisit au cours de son règne un format de séries éliminatoires surnommé "Shaughnessy Playoffs". Il s’agit en fait de ce qu’on retrouvait déjà dans la Ligue nationale de hockey (tournoi de fin de saison 1er vs 4e et 2e vs 3e, avec une finale entre les deux gagnants). Sa contribution au baseball mineur a été soulignée en 1953, alors qu’il a été désigné "King of Baseball", un titre remis par la baseball mineur.

Depuis son décès en 1969, les équipes de football de l’Université McGill et Loyola College (aujourd’hui l’Université Concordia) se disputent annuellement la Coupe Shaughnessy.

Frank Shaughnessy est membre du Temple de la renommée du football canadien depuis 1963 et est devenu membre de celui du baseball canadien à titre posthume en 1983.

Son fils Frank Jr. a suivi ses traces en remportant entre autres une médaille de bronze avec l’équipe américaine de hockey, aux Jeux de Garmish-Partenkirshen, en 1936. Il a également participé à l’organisation des Jeux de Montréal en 1976.


Sources : Currie, Gordon, 100 Years of Canadian Football, Pagurian Press, 1968, p.50 à 64,″Shaughnessy clan full of rich history″ de Tim Burke, 15 juin 1982, p.B5, wikipedia.org.

Initialement publié sur bottedenvoi.blogspot.ca

samedi 10 octobre 2015

Les chandails de la ECHL





Il y a deux ans j'avais causé une petite commotion sur les internets en publiant le décompte des chandails de la LHJMQ en ordre de beauté... C'était tout de même un exercice amusant et on s'était dit qu'on pourrait éventuellement s'attaquer à d'autres ligues. J'ai remis ça sur le plancher cette semaine alors qu'on s'attaque maintenant à la troisième ligue en importance dans le hockey professionnel nord-américain: la ECHL...

Cette fois-ci j'ai procédé de manière plus scientifique. J'ai fait appel à mes collègues de LVEUP afin de m'aider à effectuer le classement des chandails. Chacun y est allé de sa note sur 10 ainsi que d'un court commentaire. J'ai ensuite fait la moyenne de ces notes afin de nous donner le classement final. Ce sera donc plus "fair" que celui de la LHJMQ...

Pourtant j'ai été agréablement surpris par la qualité des chandails de la ECHL. Oui on le sait qu'ils ont la manie de sortir des chandails spéciaux lors d'occasions spéciales et ces "expériences" font généralement partie des pires chandails de l'histoire. Mais en 2015, les chandails réguliers (et non pas les chandails jokes) des équipes en place sont généralement très acceptables et aucun ne ferait vraiment partie des pires de l'histoire. 

Voici donc le décompte des chandails des 28 équipes actuelles de la ECHL en commençant par les pires...

Walleye de Toledo: 1/10

Ray Sheppard: 2/10
On commence ici par un exemple typique de ce qui est mauvais dans le design des chandails d'équipes mineures: logo stupide et couleurs criardes. Le Walleye couronne le tout avec l'ajout de cette mangeoire jaune sur les bras des joueurs en dessous d'un logo à l'épaule.

Kirk McLean: 0.5/10
Je pense que je vais vomir ....

Keith Acton: 1/10
Un doté édenté avec un casque de hockey, vraiment?… En plus, un doré, c’est jaune et vert, pas bleu…

Martin ITFOR: 0/10
Non... Imaginez-vous remporter un trophée de championnat avec ça...


Eagles du Colorado 1.5/10


Ray Sheppard: 1/10
Voici le pire chandail de la ECHL selon moi. Les Eagles ont adopté (sans raison) le design des Kings de L.A. et ont patché leur logo par dessus. Il y a ici un manque total de cohésion entre le logo coloré des Eagles et le reste du chandail totalement sobre. Sur le chandail foncé, ils ont imité inutilement les Rangers et même l'Avalanche avec le mot "Colorado" en diagonale. Le fait d'avoir ajouté un contour jaune sur ce lettrage vient encore jurer avec le reste.

Kirk McLean: 1/10
Ok. Les gens aux marketing ont oublié leur Nescafé au meeting pour décider du look. Un logo Ultramar sur noir et blanc ... on dirait qu'ils ont trouver leur stock dans 8 ventes de garage disparate.

Keith Acton: 1/10
Encore le lettrage dégradé des Rangers?

Martin ITFOR: 3/10
Je vais mettre une note plus élevée que les autres parce que j'ai toujours trouvé le logo étrange, avec les couleurs du splendide drapeau du Colorado, mais c'est pas tant beau en effet... Le lettrage "Colorado" est également mieux fait que le plus récent de l'Avalanche selon moi...


Mavericks du Missouri: 1.75/10


Ray Sheppard: 4/10
Cette équipe m'a frustré car elle a plusieurs chandails et je n'arrive pas à savoir quels sont leurs chandails réguliers et contrairement aux Americans de Allan (voir plus bas), je n'arrive pas à trouver de meilleures photos de toute cette panoplie de chandail. Anyway ils sont horribles, mais j'ai un petit faible pour le dernier à droite plus vintage qui fait passer ma note de 3 à 4...

Kirk McLean: 1/10
Le chandail orange manque de punch. Je ne sais pas c'est quoi l'idée de la bande horizontal sur le beige, mais ça ne passe pas ici. Pourtant, j'aime le orange!

Keith Acton: 2/10
La version cartoon des Broncos de Denver?

Martin ITFOR: 0/10
Tout ce que je déteste dans un chandail de hockey est là-dedans...


Nailers de Wheeling: 2.75/10

Ray Sheppard: 3/10
Pâle adaptation du chandail de leur club affilié (les Penguins) dont je n'aimais déjà pas le design et les couleurs. Zéro originalité. Le logo a pourtant du potentiel mais il n'est pas mis en valeur ici. Peut-être s'ils faisaient comme le grand club en retournant dans le passé...

Kirk McLean: 2/10
Zéro originalité, et le logo semble littéralement disparaître (surtout sur le chandail blanc).

Keith Acton: 3/10
Mauvaises couleurs. Un masque et des clous en or?

Martin ITFOR: 3/10
J'aime le nom de l'équipe et le logo, mais un chandail des Penguins, c'est absolument non...


Icemen d'Evansville: 3.5/10

Ray Sheppard: 2/10
Le chandail le plus plate de la ECHL. Le 3ème chandail est particulièrement endormant. Le gars a même l'air jaloux des deux autres sur la photo. On dirait d'ailleurs qu'ils ont fait le dévoilement à Salut Bonjour...

Kirk McLean: 3/10
J'aime bien le choix de couleurs, mais pas le choix de motifs. On dirait un chandail de pratique. Le 3e chandail aurait été tellement mieux avec le logo plutôt que "Evansville"

Keith Acton: 5/10
Le blanc est pas si mal.

Martin ITFOR: 4/10
J'ai une affection pour cette équipe pour des raisons personnelles (j'ai de la famille qui habite cette ville), je possède même une copie du chandail blanc d'il y a quelques saisons, mais ces chandails sont moins beaux qu'avant... J'aime le troisième, ce qui lui vaudra une note neutre... Mais j'aimais mieux le vieux vieux logo de style Pierrafeu...


Solar Bears d'Orlando: 3.5/10

Ray Sheppard: 4/10
Oui ce chandail et ce nom d'équipe sont ridicules mais les Solar Bears s'assument vraiment comme équipe mineure quétaine avec ce chandail et je lui donne une meilleure note que bien d'autres équipes.

Kirk McLean: 6/10
C'est sûr que quand ton équipe s'appelle les "Ours Solaires", faut s'attendre à ce que le chandail fesse. C'est réussi dans ce cas-ci. Faut aimer le choix de couleurs par contre.

Keith Acton: 2/10
Nom ridicule = logo ridicule

Martin ITFOR: 2/10
J'ai toujours trouvé la référence au fait qu'on joue un sport nordique en Floride dans le nom cool, mais malheureusement, tout le reste est horrible... J'aime mieux les Everblades...


Thunder de Wichita: 3.75/10

Ray Sheppard: 5/10
On dirait un chandail de base d'il y a quelques années dans le jeu NHL dans l'option "Create a team".

Kirk McLean: 3/10
Un 2e club qui s'appelle le Thunder ?? Au moins le logo fitte, mais le chandail est incognito.
Et oui il y aura deux équipes ayant le nom "Thunder" dans la ECHL cette saison (avec le Thunder d'Adirondack)

Keith Acton: 5/10
Logo quelconque. J’aurais mis des épaules au chandail noir.

Martin ITFOR: 2/10
Ordinaire... Non mais, sérieux, comment tu veux que les gens dans une ville comme Wichita au Kansas aiment le hockey si ce que tu as à proposer, c'est ça... J'aime presque mieux un logo de compagnie tant qu'à avoir un logo aussi générique...


Fuel d'Indy (Indianapolis): 4/10

Ray Sheppard: 4/10
Un autre chandail aux épaulettes hors-norme, celui du Fuel a pourtant du potentiel mais est gaché par leur logo pas inspirant et le motif psychédélique sur le collet.

Kirk McLean: 3/10
Les semblants d'épaules (comme sur les chandails internationaux d'équipe d'Europe), j'ai ça en horreur.

Keith Acton: 7/10
Le logo aurait pu être mieux servi avec autre chose qu’une rondelle. J’aurais mis quelque chose de plus près de l’automobile.

Martin ITFOR: 2/10
L'héritage du Motocross des Thrashers?


Oilers de Tulsa: 4.25/10

Ray Sheppard: 5/10
Voici un club qui a avait le potentiel d'avoir un beau chandail et qui ont tout gâché en adoptant le style Reebok.

Kirk McLean: 3/10
Quand on essaie de mélanger "Avalanche du Colorado" et "Flames de Calgary", ben ça donne pas vraiment quelque chose de beau.

Keith Acton: 6/10
Dommage que ce travailleur ait une face de bandit… Du noir au lieu du bleu aurait ajouté à la thématique du pétrole.

Martin ITFOR: 3/10
Dommage, les Oilers forment une institution de hockey dans le Sud... Je déteste le chandail de l'Avalanche et avec un logo bien ordinaire comme ça, ça fait un chandail "meh..." Ils ont eu plusieurs chandails plus beaux par le passé...


Steelheads de l'Idaho: 4.75/10

Ray Sheppard: 5/10 
Les couleurs ne fitent pas d'un chandail à l'autre et les motifs et lignes sur les côtés sont médiocres. Ce n'est pas le pire de la liste mais il est facilement oubliable.

Kirk McLean: 7/10
Manque de bleu sur le chandail foncé. Ça aurait été parfait !

Keith Acton: 4/10
Poisson trop petit et je n’aime pas les lignes de chaque côté. C’est sûr qu’une truite, ce n’est pas bien méchant…

Martin ITFOR: 3/10
Un saumon sur un chandail ordinaire...


Aces de l'Alaska: 4.75/10
Ray Sheppard: 4/10
Chandail intéressant si on aime la couleur "Baby blue" mais il souffre malheureusement du syndrome Reebok...

Kirk McLean: 6/10
J'aimais, jusqu'à ce que je remarque le vert sur les chandails réguliers. Ça jure avec le noir et le turquoise. Tout de même très acceptable.

Keith Acton: 5/10
Encore une fois, le blanc est pas si mal, en raison du thème de la neige. Le troisième est affreux.

Martin ITFOR: 4/10
L'ajout du vert est insupportable... Il me semble que les chandails plus vieux étaient mieux... Le troisième serait beau si les bandes faisaient le tour des manches... Mais par le passé, les Aces maitrisaient bien le bleu glacial, plus maintenant...


Beast de Brampton: 5/10

Ray Sheppard: 6/10
Le nouveau club affilié du Canadien dans la ECHL, le Beast nous offre un chandail intéressant dans son design mais les couleurs sont un peu trop sobres à mon gout. Et il n'y a pas un assez grand contraste entre les deux chandails.

Kirk McLean: 2/10
Le logo fait vraiment ECHL, mais le chandail est d'une laideur.

Keith Acton: 5/10
Ça manque de rouge.

Martin ITFOR: 7/10
Moi j'aime le Beast, donc je vais être biaisé... On ne le voit pas,mais il y a une feuille d'érable sur la nuque... Le plus vieux chandail était plus beau avec des épaulettes non cette bande qui descend aux coudes... Les couleurs dont le mélange est assez inusité peuvent s'agencer à merveille selon moi... En diminuant la bande aux bras par exemple... Le logo est cool par contre, j'ai un t-shirt et je le porte souvent...


Rush de Rapid City: 5.25/10

Ray Sheppard: 5/10 
Un autre chandail moyen, celui-ci imite également le design des Flames mais avec un logo vraiment plate...

Kirk McLean: 5/10
Si les couleurs auraient été plus vives, ce chandail aurait mérité la note de passage.
Note: les couleurs sont normalement plus vives, c'est juste difficile de trouver des bonnes photos de cette équipe.

Keith Acton: 5/10
On dirait que le R tape du pied.

Martin ITFOR: 6/10
On dirait que j'ai rien à dire de bien ni de mal... Je les ai vu en action l'an dernier, c'est quand même respectable comme chandail, note de passage!


Jackals d'Elmira: 5.5/10

Ray Sheppard: 6/10
Chandail moyen à la coupe Reebok et aux couleurs standard de hockey. Pas grand chose à dire.

Kirk McLean: 8/10
J'ai toujours aimé ce design de chandail lorsque les Sabres de Buffalo le portait. C'est encore le cas aujourd'hui.

Keith Acton: 6/10
Un chacal bleu?

Martin ITFOR: 2/10
Chandail de pratique avec un logo générique...

Thunder d'Adirondack: 5.5/10


Ray Sheppard: 6/10
Ce club affilié aux Flames de Calgary s'appelait originalement les Flames d'Adirondack mais ils ont  changé de nom pour le Thunder cette saison. Le logo standard au centre vient un peu gâcher le design du chandail aux couleurs des Flames que j'aime plutôt bien.

Kirk McLean: 7/10
Version simple mais efficace du chandails des Flames. Je ne déteste pas le logo, mais où est le rapport entre Vikings et Thunder ??
Note: Sûrement un lien avec Thor, le dieu du tonnerre chez les Vikings... 

Keith Acton:  4/10
J’aurais remplacé le gris du logo par du blanc et du jaune, pour aller avec les autres couleurs du chandail.

Martin ITFOR: 5/10
Je ne sais pas, mais je vais revenir sur ma critique classique du chandail des Flames, abandonnez le noir... Le metalleux en moi aime le logo par contre... Pas certain pour les drapeaux, comme pour le chandail des Flames...


Cyclones de Cincinnati: 5.75/10


Ray Sheppard: 7/10 
J'aime bien ce chandail malgré que je trouve que les bandes aux épaules sont exagérément larges pour rien mais somme toute un chandail acceptable. Le troisième chandail est aussi intéressant.

Kirk McLean: 4/10
Les bandes aux épaules, ça va sur les épaules. Point. Ça scrappe le chandail !

Keith Acton: 6/10
En excluant le gris qui fait pyjama.

Martin ITFOR: 6/10
Les chandails sont so-so, ordinaires, mais le logo à lui seul vaut une bonne note... J'aimais mieux les chandails du temps qu'ils étaient dans les logos un peu weird de la IHL ou d'il y a quelques années... Mais le chandail de l'époque avec ce logo, ce serait un 10/10 selon moi...


Gladiators d'Atlanta: 6/10

Ray Sheppard: 6/10
Les Gladiators de Gwinnett changent de dénominatif régional cette saison et seront maintenant connus sous le nom des Gladiators d'Atlanta. Ils honoraient déjà les anciens Flames de la même ville avec leur troisième chandail qui est passable mais leur chandail régulier est plutôt plate.

Kirk McLean: 4/10
Beau rappel aux Flames d'Atlanta sur le 3e chandail. Mais les deux premiers sont tellement ternes.

Keith Acton: 8/10
J'aime surtout le noir. Je n’aime pas le logo du rouge.

Martin ITFOR: 6/10
Les plus vieux logos sont plus beaux, le 3e vaut une couple de points de plus, mais le tout est dans les bandes, j'adore... Je ne comprend pas pourquoi quelqu'un voudrait se procurer le blanc par contre...


Swamp Rabbits de Greenville: 6.5/10

Ray Sheppard: 7/10
Greenville a changé de nom également cette saison, les anciens Road Warriors s'appellent désormais les Swamp Rabbits et ont dévoilé un nouveau logo qui fait sensation. Le reste du chandail est beaucoup plus sobre. On dirait l'ancien modèle du troisième chandail des Predators d'il y a quelques années. J'aime bien mais ils auraient pu ajouter un peu de orange dans les bandes.

Kirk McLean: 7/10
Le logo donne les points à ce chandail. Rajoutez un peu d'orange et ce chandail et j'en commande un!

Keith Acton: 5/10
La carotte? Bof… Et ça manque d’orange.

Martin ITFOR: 7/10
Logo funky typique des ligues inférieures, chandail simple, que voulez-vous de plus? Plus d'orange en effet...


Wings de Kalamazoo: 6.5/10

Ray Sheppard: 8/10
J'aime le fait qu'ils ont adapté les couleurs et le design du Canadien de manière différente mais ils ont un peu trop poussé leur chance avec le design peu orthodoxe des écussons sur les épaules au lieu des bandes traditionnelles.

Kirk McLean: 7/10
C'est quoi ce "bouclier" sur les épaules ? Ce serait superbe sans.

Keith Acton: 6/10
Les épaules sont plus ou moins réussies.

Martin ITFOR: 5/10
J'aimerais plus s'il n'y avait pas les machins dans le bas sur les côté, une autre bande aurait fait plus la job... Et s'il y avait des épaulettes complètes... Le logo est un classique par contre...


Royals de Reading: 6.75/10

Ray Sheppard: 7/10
Chandail sobre mélangeant différents styles des Kings et des Flyers. J'aime.

Kirk McLean: 9/10
Qui des Royals ou des Monarchs seront obligés de changer de logo ?? J'aime vraiment le style et les couleurs de leur uniforme.

Keith Acton: 4/10
On dirait que le lion a le museau écrasé. Mais j’aimerais bien le logo de Manchester sur ce chandail.

Martin ITFOR: 7/10
Le logo des Monarchs est effectivement plus beau, mais j'aime la simplicité du chandail. Le blanc est plus ordinaire...


Monarchs de Manchester: 7.25/10

Ray Sheppard: 7/10
Parenthèse bizarroïde ici. Durant l'entre-saison les Kings de Los Angeles ont procédé à un remaniement de leurs clubs-écoles. Auparavant, les Monarchs étaient leur club école dans la ligue Américaine tandis que le Reign d'Ontario était celui dans la ECHL. Ils ont préféré que leur club-école de la AHL soit plus proche du grand club et ont donc procédé à un transfert de franchises... Oui ce genre de truc existe dans les ligues mineures. Désormais le Reign d'Ontario (on parle ici d'une ville en Californie et non pas de la province canadienne si jamais vous avez de la difficulté à suivre) est le club-école des Kings dans la ligue Américaine tandis que les Monarchs de Manchester (au New Hampshire) sont désormais dans la ECHL. Mais ce n'est pas comme si ces deux franchises changeaient de ligue, ils changent seulement de nom et d'uniformes mais gardent les même joueurs... Oufff....

Donc je ne sais pas si les Monarchs vont garder ce même chandail mais tout porte à croire que oui. Il y aura donc deux équipes adoptant le design des Kings dans la ECHL cette saison. Mais dans le cas des Monarchs, ça leur va plutôt bien et je préfère d'ailleurs leur logo à celui des Kings.

Kirk McLean: 8/10
Vraiment très efficace comme jersey, j'adore le logo.

Keith Acton: 7/10

Martin ITFOR: 7/10
J'aime le chandail des Kings récent, j'aime les logos avec des félins, j'aime...


Grizzlies de l'Utah: 7.5/10

Ray Sheppard: 7/10
Une des seules équipes de la ligue à avoir adopté le vert, le chandail des Grizzlies me fait penser à celui des Foreurs de Val d'or par son choix de couleurs et sa simplicité. Reste juste à changer le lettrage et on serait en business.

Kirk McLean: 9/10
Parfois, faire simple et standard, c'est la meilleur solution.

Keith Acton: 7/10
Le vert est très beau, mais le bâton du logo est de trop.

Martin ITFOR: 7/10
J'applaudis la simplicité de style Foreurs de Val d'Or. Il y a quelque chose qui me gosse dans le logo, je crois que c'est que l'ours a une trop petite tête à l'intérieur du logo...


Americans de Allan: 7.75/10

Ray Sheppard: 8/10
Ici j'ai eu quelques difficultés à savoir quels étaient les chandails principaux des Americans. Je sais que le premier en blanc est leur chandail standard mais ils en ont porté 3 autres la saison dernière dont j'ignore lequel est le principal et lesquels sont les chandails alternatifs. Quoiqu'il en soit j'aime bien tous ces chandails mais un peu moins le bleu (2ème sur la photo).

Kirk McLean: 8/10
Le blanc est simple (6/10), le bleu est laid (1/10), le rouge est ... rouge (4/10) et le 4e à un beau look vintage (8/10).

Keith Acton: 7/10
Le lettrage des Americans de New York?

Martin ITFOR: 8/10
Boom, simple, direct... Le bleu est moins beau, mais les autres sont splendides... Mis à part le C du capitaine, le 4e est incroyable...


Admirals de Norfolk: 7.75/10

Ray Sheppard: 8/10
Les Admirals sont une autre équipe qui sont rétrogradés de la AHL à la ECHL cette saison. Ils emploient deux styles différents sur leurs chandails. Le premier au style classique et le deuxième au style Reebok. Devinez lequel je préfère? Ceci dit je ne déteste pas le blanc pour autant.

Kirk McLean: 8/10
Si seulement le chandai blanc était sur le même pattern que le foncé, nous aurions un win ici ! Très beau tout de même.

Keith Acton: 8/10
Quoique le logo aurait été mieux servi par des couleurs plus militaires (style marine).

Martin ITFOR: 7/10
Classique, agencement des couleurs peu utilisé, le bleu est superbe mais le blanc a ce machin de style Reebok sous le bras avec la ligne que je trouve laid...

Everblades de la Floride: 8/10

Ray Sheppard: 8/10
Chandail aux couleurs intéressantes qui me rappelle les Whalers de Hartford vers la fin. Je lui aurais donné une meilleur note s'il n'y avait pas ces affreuses dents de crocodiles dans le bas du chandail...

Kirk McLean: 7/10
Très beau, beau choix de couleur, mais les dents gâchent tout.

Keith Acton: 8/10
Points bonis pour les dents, que moi j’aime bien. C’est moins réussi en blanc.

Martin ITFOR: 9/10
Un de mes préférés du monde du hockey tout court... Les dents, l'alligator en patin, deux choses tellement uniques... Des couleurs Hartfordesques... Dans ma liste des chandails à acquérir... On vient de Floride ou on ne vient pas de Floride... Ils assument, ne serait-ce que dans le jeu de mot dans le nom, leur "floridité" 100 fois mieux que les Solar Bears...


Komets de Fort Wayne: 9/10

Ray Sheppard: 9/10
Un de mes chandails préférés dans cette ligue. Pas facile de rocker le orange à moins d'imiter les Flyers de Philadelphie. Les Komets s'en sortent bien avec ce design classique. Oui c'est assez standard comme design mais quand c'est pas brisé...

Kirk McLean: 10/10
Deux mots : Magni - Fique

Keith Acton: 8/10
Commandité par Black & Decker? Mais c’est un classique puisque les Komets existent (sous une forme ou une autre) depuis longtemps.

Martin ITFOR: 9/10
Classique... Une des plus vieilles équipes d'Amérique du Nord qui se la joue dans la simplicité. Ils ont déjà porté des horreurs, mais ça...


Stingrays de South Carolina: 9/10

Ray Sheppard: 9/10 
Un de mes préférés. J'aime bien le mélange des couleurs, le positionnement des bandes et la synergie avec le logo.

Kirk McLean: 9/10
Effectivement, ces chandails correspondent à tout ce que nous aimons sur un chandail de hockey.

Keith Acton: 9/10
Pas besoin de mettre à la raie un bâton dans les mains ou un casque sur la tête. C’est bien comme ça.

Martin ITFOR: 9/10
Je ne vois aucun défaut... Et tout est dans le logo... Pas de grosse affaire débile comme bien d'autres équipes... Il manque du "oumf" disons historique pour être 10/10...


Mallards de Quad City: 9.25/10

Ray Sheppard: 10/10 
Mon chandail préféré de la ECHL. Logo, couleurs, bandes... tout est super ici. On dirait le mariage parfait entre le Wild et les Ducks. Le troisième chandail clashe un peu mais je trouve qu'il a son charme.

Kirk McLean: 8/10
Très beau et efficace pour les chandails réguliers. Pas fou du 3e chandail. (8/10)

Keith Acton: 10/10
L’orange n’est pas à la hauteur des deux autres. Pas friand des canards avec un casque de hockey.

Martin ITFOR: 9/10
Le logo niaiseux du orange a fait perdre des points, mais c'est réellement plus réussi dans le style que celui des Ducks en tout point... Une beauté...



C'est ce qui conclut ce long décompte de la ECHL. Merci à mes collègues pour leur contribution. J'aimerais savoir vos opinions sur le sujet. Et aussi j'aimerais savoir quelle ligue vous aimeriez que l'on attaque dans le futur. La KHL ? La SM-LIIGA? La AHL?